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Avalanche

Hayden

Sur le grand balcon dans l'obscurité accompagné uniquement de mon Gins et mes cigarettes je réfléchis sans cesse. La photo de cet homme... elle m'a retourné l'estomac tant on se ressemble. Mais le bleue de ses yeux s'apparente parfois à ceux de Lucy. Dans mon esprit il est à la fois net et flou. Comment se fait-il que ce Milani ai connaissance de cela ? Ce crétin cherche à nous mené à notre perte mais c'est lui qui creuse son propre trou. Je me suis créé ma famille mais si grâce à lui elle s'agrandit je ne compte pas la laisser partir. Et j'aurais bien des questions à lui poser, lui qui semble connaître tant de choses. Mais pourquoi mes "parents" m'auraient abandonné et pas Giovanni ? Je crois que même eux ne sont au courant de rien puisque Antonio avait l'air réellement choqué. Au point d'être livide.

Pâle comme un cachet il a néanmoins prit le risque de m'expliquer un minimum de choses sur ce Milani et le lien avec sa famille. En somme ? La jalousie. Et moi ? Un possible jumeau écarté de la famille depuis sa naissance. Je reste persuadé que Milani sait tout ce que l'on devrait savoir. Ce fouineur doit avoir réussi à infiltré l'une de mes entreprises pour avoir eu un entretien avec moi sans que je sois avertis de son côté vicieux. Ces hommes en jogging gris qui ont osé s'en prendre à Lucy doivent sûrement rester dans l'ombre à nous espionner pour son compte. Plus jamais elle ne sera seule jusqu'à ce que j'ai moi même tirer une balle dans le cœur de cet abruti. Appuyé sur les accoudoirs de ma chaise j'entends un bruit de pas très léger derrière moi et pointe directement mon arme vers la personne à mes côtés.

— Mon frère calme toi.

La voix grave de Félix détend mon âme qui prend soin de déposer le revolvers sur la table. Aux côtés de mon verre de Gins il apparaît comme un cocktail dangereux. J'ai très peu parler depuis la nouvelle et l'aperçu de cette photo qui hante depuis mon esprit. Mon frère prend place dans une chaise à mes côtés et s'en grille une. J'émets tout de même des doutes sur les identités de ces Lucciano. Qui ne me dit pas que ces hommes ont été engagé pour me tendre un piège après tout ? Antonio est prévenu et il doit bien se douter qu'il est surveiller. S'il est né la dedans, moi j'ai cela dans les veines, c'est mon instinct.

— Toujours troublés hein ? Demande Félix en observant la nuit étoilés.

— Comment ne pas l'être ?

Un léger rire s'échappe de ses lèvres au moment où il recrache sa fumer.

— Il faut avouer que cet homme te ressemble Physiquement. Mais est-il pareil mentalement ? Si vous êtes de vrais jumeaux, alors il y a de grandes chances, argumente-t-il en tentant de chercher le bon côté.

— On a pas été élever dans le même monde alors j'en doute...

— Détrompe toi, ce genre de choses c'est dans les veines mon frère. On ne pourra jamais te retirer tes valeurs. Et à en voir Antonio je doute qu'ils soient les derniers des salauds.

Il marque un point, je n'ai pas perçu Antonio comme faux. Bien au contraire, pour moi sa réaction a été si naturelle qu'elle ne peut qu'être réelle. Je crois que c'est bien ce qui me met dans tout mes états. J'aurais tant de questions à poser, comment était mes parents ? Qui est ce frère qui semble être l'aîné ? S'ils sont à la tête de toute l'affaire familial c'est sûrement parce qu'ils sont morts. Alors comment ? Pour qui ? Ou à cause de quoi ? La faute à notre monde certes mais dans quel affaire ? Ont-ils été malhonnête ? Je ne pourrais le supporter ce ne sont pas mes principes.

— Cesse de te tourmenté Hayden...

La voix de Félix me ramène à la réalité du moment présent. Mon regard croise le sien malgré la pénombre j'arrive à discerner de l'inquiétude dans celui-ci.

— Mes nuits vont être longue Fe'...

— Je sais et c'est pour ça que je suis ici.

— Tu crois que ce sont réellement mes frères ?

— Seul un abruti pourrait penser le contraire. Mais je te connais tu te méfie de n'importe quel étranger qui tente de toucher à ta famille, lâche-t-il pour me taquiner.

— Tu es identique alors arrête, dis-je avec un petit rire.

— Sienna dort à point fermé, nous sommes protégé dans ta villa, mais ce ne m'empêche pas de placer deux gars devant la porte... admet-il avec un ton plus sérieux.

Cela me fait penser à Lucy qui doit aussi dormir comme un ange. Elle a tenue le plus longtemps possible pour me tenir compagnie à moi et mon choc psychologique. Mais elle a fini par céder au sommeil entre mes bras. Ce n'est pas la première fois que je couche Lucy mais à chaque fois je pourrais rester l'observer avec ce visage paisible pendant des heures. J'ai la sensation parfois de manquer de temps avec elle et cela me met en colère.

— Comment ça va avec Sienna ?

— Je suis patient, tu le sais bien. Mais parfois c'est difficile pour moi de ne pas tout éclater sur mon passage quand elle est prise d'une crise et que je ne peux la toucher.

Rien que d'évoquer le sujet j'aperçois sa mâchoire se contracté avec force. J'ai la sensation d'être impuissant en cet instant un peu comme lui quand il se retrouve dans la situation expliqué.

— Tu as réussi à parler à Lucy ? Demande-t-il finalement pour faire écho à notre conversation de la dernière fois.

— Oui, et figure toi que l'un de ses ex l'a forcer une fois. Elle était en pleure et ne voulait pas me l'avouer parce qu'elle était persuadé que j'allais partie en vrille. Alors devant elle je me suis contenue pour lui prouver le contraire et une fois qu'elle s'est endormie le soir j'ai été chopé ce connard. Je lui ai refais le portrait sans lui donner mon nom et ma raison. Puis je suis rentrée et je me suis coucher auprès d'elle.

Félix explose alors de rire, celui-ci résonné dans l'intensité de la nuit et entraîne le mien par la même occasion. J'allume une nouvelle cigarette après avoir terminer mon verre d'une traite.

— Il faut que tu m'apprenne à me contenir comme ça Cobra, vraiment, assure Félix qui s'en allumé une à ma suite.

— C'est simple pense à sa détresse à elle que tu veux effacer. Puis quand elle retrouve le sourire tu t'occupes du reste.

— Apprend à contrôler ta colère, elle sera la fondation d'une force sans pareil...

— De bien sages paroles pour des hommes qui ne dorment pas... lance la voix endormie de ma femme derrière nous.

Lorsque je me retourne je m'aperçois avec un plaid autour des épaules et les yeux mi clos. Je ne sais depuis combien de temps elle se trouve là car ni moi, ni Félix ne l'avons entendu arriver. Mais j'espère de tout cœur qu'elle ne pas entendu mon explication précédente sinon je vais devoir lui rendre. Et c'est bien la seule personne qui me fait peur. Quand elle est en colère, elle pourrait me briser le cœur en moins de deux si elle le désirait. Tendant ma main vers elle je l'invite à venir vers nous. Et lorsqu'elle s'approche un peu plus je me rend compte qu'elle sort vraiment du lit à peine vêtue de son débardeur et son short en coton. Pied nu elle vient s'asseoir sur mes genoux en se calant tout contre mon torse. Sa chaleur me réconforte instantanément et son parfum de fleur me radoucit l'esprit.

— Pourquoi vous parliez de colère ? Demande-t-elle en fermant de nouveau les yeux alors que je lui caresse les cheveux.

— Parce que ton homme est perturbé avec la photo que nous avons vu aujourd'hui. Et il est en colère car cela boulverse tout dans sa vie, explique simplement Félix pour me couvrir.

D'un regard je le remercie et il me souris affectueusement.

— Hayden... cela ne change rien... baille Lucy entre mes bras alors que je continue de fumer.

— Que veux-tu dire ? Demande Félix qui me voit froncés des sourcils.

— Bien parce que sa famille c'est nous avant tout, lâche-t-elle comme une évidence avant de se décontracté pour se laisser porter par le sommeil.

L'émotion monte directement en moi, je suis rarement au bord des larmes mais avec elle cela semble si facile d'être bouleversé. Mais elle a raison, ma famille c'est eux, c'est mon frère assit devant moi, c'est Chase, Riley, Seth et même les filles. Car à présent malgré nos divergences elles font partie intégrante de notre cercles. Et c'est avant tout Lucy, elle est le pilier centrale de tout ceci et avec une telle sagesse d'esprit parfois que je me demande pourquoi elle reste ici. Cette vie n'est pas facile et encore moins légale, elle doit m'aimer comme on aime nulle autre personne pour courir autant de risque. Mordant ma main en laissant échapper uniquement un soupire, je ressent par la suite sa main caresser mon torse en de petits cercles.

— Pour moi c'était si évident que jamais je n'aurais penser vous laisser...

— Mon frère, jamais on ne te laissera partir, assure Félix en se retournant vivement vers la baie vitrée ouverte.

Sienna à sûrement du entendre ce qu'il se passait dehors avec les fenêtres ouvertes. Néanmoins elle est venue sans aucune couverture et doit avoir horriblement froid.

— Viens Mi Bella... souffle Félix de sa voix douce.

Elle se place sur ses genoux comme la fait Lucy quelques temps auparavant et il la couvre de sa propre veste retiré en une minute. La tête sur son épaule elle nous observe quelques seconde avant de fermer les yeux contre mon frère. Elle lui fait confiance c'est certain, mais son passé la rattrape lorsqu'elle se retrouve à nu devant lui. C'est son esprit qui la bloque, et il faut qu'il lui apprenne la confiance.

— Elle s'est déjà rendormie... chuchote-t-il discrètement.

— Tu devrais vraiment essayer ce dont je t'ai parler l'autre jour. Car elle a plus l'air d'avoir peur de ce qu'elle voit plus que de ce qu'elle ressent mon frère.

— Trop d'un coup pourrait lui faire peur j'irais par étape. Savoir qu'elle me laisse parfois lui montrer mon amour et mon désir surtout me comble déjà. Je suis bien heureux de l'avoir moi même étripé cet enculer, termine-t-il en se levant avec Sienna en berceau.

— Demain nous irons faire ce test.

— Elle sera à tes côtés et moi aussi.  Ne m'en veut pas mon frère mais j'aimerai prendre du temps avec ma femme. J'ai besoin de reposer mon esprit, lâche-t-il en nous contournant.

— Je vais tenter de faire de même et suivre ton exemple pour une fois.

Soulevant le poids plume de Lucy et le plaid qu'elle a enroulé autour d'elle je me dirige vers notre chambre. La porte de celle-ci est grande ouverte tout comme la baie vitrée qui donne accès à notre balcon. Une légère brise fraîche entre dans la chère lorsque je dépose Lucy sur le lit, sous la couette. Fermant tout les accès, je me défais de mon costard pour me glisser auprès d'elle. Elle ouvre alors les yeux quelques secondes pour venir se tourner et coller son dos à mon torse.

— Hayden... je t'aime ne me quitte plus jamais.

— Je ne t'ai jamais réellement abandonné ma perle. Jamais...

Et je jure sur ma vie qu'il n'en sera jamais ainsi. Que même si tu décidais de vivre ta vie ailleurs avec un autre homme je serais dans les parages pour veiller à ton bien être. Dans l'ombre mais toujours présent.

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