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Face à face

Vêtue de manière simple aujourd'hui avec un jean noir et un top bleue roi je recoiffe mes cheveux pour accueillir mes parents. Il est bientôt l'heure de manger et Hayden à prévu que l'on s'assoit autour de la table sur le grand balcon extérieur. Arrivant en fin de journée après leurs travails respectifs mes parents seront sûrement fatiguée et donc moins patient. Mais je sais que mon homme n'est pas du style à se laisser démonter bien au contraire. Le soleil bas dans le ciel donne un aspect chaleureux au paysage alors que je descend dans le hall d'entrée je jette un coup d'œil vers le salon et la baie vitrée me laisse apercevoir Cobra en train d'admirer l'horizon à fumer une cigarette. Il est sûrement au téléphone sinon il ce serait donné la peine de venir accueillir mes parents.

Posant un pied devant l'escalier ils entrent pile à ce moment là et ma sœur ne mâche pas ces mots.

— La vache !

— Mia je vois que ça te plaît, souris-je en lui tendant mes bras dans lesquels elle se jette.

— Tu dois être si bien ici ma chérie, s'émerveille ma mère avec des étoiles dans les yeux.

— Laissez moi récupérer vos bagages je vais les mettre dans vos chambres respectives, lâche Seth en prenant les valises sans attendre de réponses.

— La maison ça ne fait pas tout ma chéri, commence mon père avec un regard renfrogner.

— Papa arrête, réponds-je directement avec un léger soupire.

— On va voir s'il vaut vraiment ce que tu me dis, affirme mon père avec les bras croisés.

— Arthur doucement, intervient ma mère avec un regard vif.

Laissant mes parents à leurs petites chamailleries j'invite tout le monde a monter. Nous avons pris soins de prévenir nos amis que ce soir serait particulier pour nous et sauf cas urgent ils n'interviendrons en aucun cas. Marche après marche j'observe m'a mère et ma sœur qui restent totalement fascinée par la luminosité des pièces et tout la décoration qui y est mise. Dans le grand salon directement ouvert par deux grandes portes on marche sur de la moquette avant d'atteindre le grand balcon où se trouve mon amant. Sans réfléchir je me dirige directement vers lui, toujours au téléphone il prend tout de même la peine de déposer un baiser sur mon front et donner ses dernières instructions à Félix pour la suite de la soirée. Après avoir raccrocher il se tourne directement vers mes parents qu'il salue respectueusement avant de les inviter à s'asseoir.

— Pardonner moi, les affaires ne prennent pas de congés, lance-t-il avant de poser sa main sur ma cuisse.

— Vous êtes patron maintenant ? S'étonne mon père avec une arrière pensée méfiante.

Celui-ci se trouve assit face à mon amant, ma mère est face à moi et ma sœur en bout de table entre moi et ma mère. La tension monte directement entre mon père et Hayden dont sa main reste pourtant détendu sur ma jambe.

— J'ai fais le nécessaire pour l'être c'est exact. Mais je crois que vous n'êtes pas vraiment venu pour cela ? Commence Cobra en entrant dans le vif du sujet.

— Lucy nous en a très peu dit sur votre travail en vérité, lâche doucement ma mère avec beaucoup d'intérêt.

— Et elle a totalement raison à ce sujet. Car moins vous en saurez mieux ce sera pour vous. En vérité elle vous protège bien plus que vous ne le pensez. Votre simple présence ici vous met en danger mais je le fais pour elle. Je la considère comme ma femme et elle sait tout de ce que je fais, explique-t-il sans lâcher mes parents de son regard assuré.

— Mais visiblement elle ne savait pas tout puisque vous êtes revenu parmi nous comme par miracle, s'agace mon père alors qu'on nous sert le plat chaud.

— Papa... lâché-je pour le calmer.

— Un mensonge qu'elle m'a fait payer je puis vous l'assurer monsieur Pearce. Mais qui était nécessaire pour sa sécurité. Je ne pourrais supporter qu'on fasse du mal à ma femme vous comprenez, argumente Cobra avec un ton plus sec.

— Votre femme ? Je ne crois pas avoir donner mon autorisation, rétorque mon père avec la mâchoire contracter.

— Papa ça suffit ! Lancé-je crispé.

— Te protéger est mon objectif Lucy, explique mon père avec un ton plus doux.

— Bien... alors nous avons un intérêt commun, profite Hayden pour tirer avantage des paroles de mon père.

— Alors dites moi de quels entreprises êtes vous le patron exactement ? Demande avec intérêt ma mère le sourire aux lèvres.

— De multiples hôtels, du Bourbon Club, de bars de nuit et bien d'autres. Et monsieur Pearce si vous y tenez réellement je pourrais tout vous expliquer mais vous comme moi sommes prêt à protéger l'être aimer n'est-ce pas ? Demande Hayden en glissant son regard sur ma mère.

D'une inclinaison de tête positif mon père accepte le tête à tête proposer par Hayden. Le reste du repas se passe sans réel encombre et je parle bien plus avec ma sœur avec mes parents qui tentent en vain d'obtenir des réponses de la part de mon amant. Le soleil se couche petit à petit derrière nous et donne des couleurs orangé à la bâtisse habituellement crème. Au dessert des macarons, mes sucreries préféré et Hayden s'en est souvenu. Son sourire en coin veut alors tout dire quand il me voit croquer dans la belle couleur framboise de celui que je tiens. Je pourrais être une femme pourri gâté si je le voulais à faire des caprices pour obtenir tout ce que je veux mais je ne suis pas ce type de femme. Je préfère totalement me contenter de ce que mon amant m'offre au lieu de tout réclamer.

Invitant ma mère et ma sœur à descendre au bord de la piscine pour boire un thé je laisse mon homme et mon père discuter à loisir. Les pieds dans l'eau je porte ma tasse à mes lèvres avant de tourner le regard vers ma sœur qui ne fait que m'observer. L'espace d'un instant je sais qu'elle veut me poser une question qui lui brûle les lèvres mais la présence de ma mère gêne. Celle-ci par aux toilettes à ce moment là et je me demande si elle n'a pas elle même ressentie le besoin de Mia et ses questions.

— C'est un gangster c'est ça ?! Chuchote-t-elle avec un air pressé.

— Je ne te le dirais pas, la taquiné-je pour le plaisir.

— Sa tenue ne trompe pas, son assurance et ses hommes de mains et de sécurité non plus. Tu n'as pas peur Lucy ? S'inquiète-t-elle soudainement.

— J'ai confiance en lui, je sais qu'il saura me protéger de tout et je l'aime alors peu m'importe d'avoir peur. Tu sais Mia parfois il faut juste se laisser porter par l'amour et oublier tout le reste pour se sentir heureux, lancé-je avant de lui sourire.

— Comment s'appelle le métisse qui est venu nous chercher ? Demande Mia en portant sa tasse à sa bouche.

— Seth.

— Hum... il est mignon, ricane-t-elle alors que je réalise qu'elle a un coup de cœur physique pour celui-ci.

Lorsque mon regard se tourner vers le grand balcon principal Hayden tout comme mon père ne s'y trouve plus et je commence alors à me poser milles questions. Qu'est-ce que Hayden peut bien dire à mon père en ce moment même ?

Hayden

Suivi de Arthur je me rend dans mon grand bureau avec une idée en tête. Lui faire cracher le morceau pour le grand père de Lucy. J'ai besoin de savoir pour la rassurer au mieux. La possibilité que son père et grand père aient déjà poser un pied dans ce monde est fort probable et c'est bien pour cela que je vais tout lui avouer. Après nous avoir servit à chacun un verre de whisky je me place devant ma fenêtre tandis qu'il examiné la pièce. Une seconde plus petite est cacher ici mais il ne l'a trouvera sûrement jamais. Et elle contient tout les armes dont je peux avoir besoin à proximité tout comme mes frères. Un SMS de Félix me demande pile à ce moment comment ça se passe et je lui réponds de manière positive pour ne pas l'inquiéter. Gérant à ma place les affaires ce soir je veux qu'il soit totalement concentré dans celle-ci.

— Bien, maintenant que nous sommes seuls je vais pouvoir vous parlez sans détour, annoncé-je en me tournant vers le père de Lucy.

— Je n'en n'attendait pas moins, rétorque-t-il sur de lui debout non loin du bureau.

— Je vous dirais tout ce que vous voulez savoir à condition que vous me dites tout ce qui est arriver à votre père, lancé-je en prenant place sur le rebord du bureau sans le quitter des yeux.

— Pourquoi devrais-je vous racontez cela ? S'offusque-t-il.

— Pour la tranquillité d'esprit de votre fille.

L'espace d'un instant il reste muet et surpris par ma réponse. Sans un mot je quitte ma position et m'assois dans mon fauteuil de bureau en cuir noir. D'un signe de la main je l'invite à faire de même et attends un moment jusqu'à ce qu'il se décide à parler. Dans un duel de regarde, je sais qu'il tente de savoir si je suis réellement un homme bien. Pour sa fille je le serais toujours, dans mon couple à jamais et pour ma famille éternellement aussi. En revanche dans mon travail j'ai les mains tâché de sang et bien plus encore. Ma femme n'est pas naïve, elle l'a deviner et me posera les questions quand elle le jugera bon.

— Je connais le monde dans lequel vous vivez bien mieux que vous ne pouvez le pensez. Je sais que votre position est la plus haute mais je suis prêt à tout pour ma fille et vous ne me faites pas peur, lâche-t-il pour m'avertir.

— Mon intérêt aujourd'hui n'est pas de vous faire peur monsieur Pearce. D'ailleurs vous avez le bonjour de James et votre fille est devenue sa patronne mais elle n'aime pas le voir ainsi, argumenté-je avec un léger sourire.

— Il n'a jamais rien su de tout ce que je vais vous dire, commence-t-il avec un ton hésitant.

— Je pense que vous et moi savons garder un secret, le rassuré-je en touchant le haut de mon verre du bout des doigt.

— Mon père et moi avons toujours eu un problème commun. Nous sommes accro aux jeux d'argent. Alors que j'avais des dettes énorme auprès d'un homme de vos acabit il a tenter de les récupérer pour moi. Malheureusement rien ne s'est passer comme prévu et alors qu'il rentrait à la maison il a reçu une balle assez bien placé pour le faire agonisé. Mais pas pour le faire mourir sur le coup alors il est arrivé à la maison à bout de souffle et est mort par ma faute. Lui avait réussi à se contenir pendant des années mais pas moi. J'ai côtoyer votre monde Hayden et laissez moi vous dire une chose. Vous mettez en danger ma fille à chaque fois que vous posez les yeux sur elle, insiste-t-il nerveusement sur sa dernière phrase.

— J'ai conscience de cela mais comme vous avez pu le dire j'ai la place la plus importante alors pour ce qui est de sa sécurité j'en fais mon affaire. Pourquoi aviez vous des dettes avec un gangster ?

— Le casino en question lui appartenait et je lui devais... Pas mal d'argent... admet-il peut fière de lui.

— Si je vous disais qu'une trentaine d'hommes voulaient s'en prendre à votre fille en ce moment même comment vous le prendriez ?

— Très mal et je ferais tout pour la protéger. Je paniquerai pour elle et son bonheur, avoue-t-il avec un ton sec.

— Et si je vous disais que le seul moyen pour que ces hommes ne s'en prennent pas à elle était de lui mentir ? Qu'est ce que vous feriez ?

— Je prendrais tout sur mes épaules et je lui mentirai sans hésité, répond-t-il directement.

— Voilà ce à quoi j'ai dû faire face il y a sept mois de cela monsieur Pearce. Je ne fais jamais rien au hasard et prendre cette décision à été la chose la plus dure de mon existence. J'ai traqué ces hommes jusqu'au dernier pour qu'aucun d'entre eux ne pose la main sur elle, expliqué-je tout en gardant mon calme.

— Pourquoi avez vous été obliger de les traqué ? Demande-t-il du tac au tac.

— Parce que j'ai pris les rênes de tout ceci. J'ai tuer mon ancien patron qui me traitait comme un moins que rien ainsi que tout les autres sauf ses petits toutous évidemment. Petit chien dont j'ai pris soin de balayer l'existence. Sauf un dont Félix s'est lui même chargé, continué-je pour qu'il saisisse bien l'importance de la situation.

— Vous l'avez fait uniquement pour cela ? Questionne-t-il surpris.

— Pour ça et pour offrir tout le confort à votre fille parce qu'elle le mérite.

— Qui est Félix et pourquoi s'est il occuper d'un homme en particulier ? Lâche-t-il avec toujours autant de curiosité.

— Félix est mon frère, orphelin tout comme moi, Chase, Riley et Seth. A nous cinq nous tenons toutes les affaires à part égales. Il se trouve qu'il est en couple avec Sienna.

— La grande amie de Lucy ? Lance-t-il en froncant les sourcils.

— C'est exact. Félix ferait tout pour sa femme, tout comme moi. Et quand il a apprit que l'homme qui a violé brutalement sa femme n'était autre que la bras droit de notre patron il en a fait sa propre affaire. Satan a côté de lui pouvait se rhabiller ce jour là. L'homme a souffert des heures et des heures durant et étant à ses côtés pour tout ceci j'ai tout vu. Étonnamment j'ai même eu du mal à supporter certains moment alors que je ne suis pas de nature sensible. Mais quand Félix a la haine et qu'on a toucher à sa femme il devient incontrôlable tout comme moi, argumenté-je pour bien lui faire comprendre que je ferais tout pour sa fille.

— Alors vous l'aimez à ce point ? Demande-t-il touché.

— Dès que j'ai poser les yeux sur elle je savais. Et votre rage je la comprendrais bien mieux que quiconque. Car tout comme vous je deviendrai un chien enragé si on touche à Lucy. Et pour vous prouver ma bonne foie oui je la considère comme ma femme mais... lâché-je en récupérant la boîte contenant la bague acheter il y a de cela huit mois, je comptais vous demander votre autorisation avant de lui offrir ceci, terminé-je en posant la boîte ouverte sur le bureau.

Son regard devient grand et si sensible que je demande si parfois j'ai ce même regard sur elle. Lui et moi avons noué bien plus de liens en l'espace d'une heure ici qu'en quatre mois quand j'étais avec sa fille au départ. Entre ses doigts il tient la petite boîte et scrute le beau diamant se trouvant sur la bague en argent. Puis son regard remonte doucement vers moi hésitant mais à la fois rassuré.

— Si vous me promettez qu'elle sera heureuse toute sa vie malgré vos affaires alors vous avez ma bénédiction, lâche-t-il avec un demi sourire.

— Il ne pourrait en être autrement je crois que vous l'avez bien compris.

— Quand comptez vous lui demander ?

— Appelez moi Hayden. Je n'ai pas encore décidé à vrai dire mais je crois quelle sera heureuse de savoir qu'à l'issue de notre entrevue toutes vos dettes seront dès à présent rembourser, annoncé-je alors que son visage se décompose.

— Euh... je... bafouille-t-il.

— L'homme à qui vous deviez de l'argent n'était autre que mon patron. Vous ne me devez rien car vous m'avez déjà offert votre fille. Et rien ne compte plus au monde à mes yeux, avoué-je en le regardant dans les yeux.

Avec la boîte en velours rouge entre les doigts je sais que toute la pression tombe soudainement de ses épaules. N'ayant jamais eu de père je ne sais pas ce que cela fait de voir le sien pleurer mais je crois deviner quand je le vois craquer. Curieusement, cela me touche en plein cœur car pour moi il ressent la même chose que le jour où j'ai tenue de nouveau ma femme entre mes bras. J'étais l'homme à la fois le plus faible et le plus fort du monde. Je serais encore plus combler quand je le ferais emmené ma perle vers moi le jour de notre mariage. Appuyé contre le rebord du bureau près de lui je pose ma main sur son épaule pour le soutenir.

— Je tiendrais ma promesse Arthur. Soyez en certains, fini-je en tentant à ma manière de le calmer.

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