Des minces filets de lumière solaire, traversaient l'épais feuillage des arbres. Venant déjà illuminer la basse forêt, encore plongée dans la pénombre du petit matin. Le soleil somnolait encore, car ses rayons éclairaient paresseusement, le chemin des sept personnages qui voyageait à toute vitesse.

En hauteur, l'élémentaire aux pouvoirs de l'ombre perché sur son aigle immaculé, semblait très préoccupé, comme tous les autres d'ailleurs. Les oiseaux chantaient déjà à tue-tête, puisque mille et une odeurs, emplissaient désormais l'air frais du petit matin.

Macrol qui, depuis le début était à la tête du petit groupe, respira bruyamment, aspirant une longue bouffée d'air pur et rafraîchie. Il leva la tête, pour essayer d'apercevoir le troisième membre de l'élite dans ce plafond forestier fait de branches et de feuilles !

Alry perché sur son aigle, était si majestueux, semblait si libre mais était toujours entouré de cette étrange aura impénétrable...

On aurait dit qu'ils étaient poursuivis par le diable. Avec l'état mourant de l'héritière du trône de l'ombre, les sept membres de l'élite du royaume de l'ombre voyageait à vitesse grand V. Ils avaient fait la connaissance du dernier membre de leur unité, qui avait, en arrivant sauvé l'héritière d'une mort certaine.

Et maintenant, s'agissait-il d'une mort incertaine ? Parce que la princesse était malgré tout dans un état critique et très grave. Juste leur restaient-ils à trouver de l'aide, pour la soigner avant d'arriver au royaume du feu, ou de vite y aller, sinon, d'ici-là, elle ne serait plus. Et ils auraient alors tous les sept, échoué à leur mission qui était pourtant simple : la protéger.

Néanmoins, toute cette angoisse régnait il y a seulement quelques instants. Maintenant, ils priaient tous intérieurement pour qu'Alry réussisse cette nouvelle tâche, qu'ils lui avaient confiée !

Vu son caractère, il allait sans doute réussir, mais n'allait cependant pas prévoir ce qui allait se passer...

En effet, l'aigle du troisième membre de l'élite avait repéré ce qui semblait être un village, pas très loin. Il était petit mais très peuplé. Alry. Katlan, était le seul à se déplacer rapidement grâce à son rapace.

Ils avaient de ce fait échafaudé un plan. Il devait aller chercher des reconstituants, ou produits qui pourraient les aider à soigner l'héritière. Enfin... du mieux qu'ils pouvaient, durant le voyage.

Cependant, le troisième membre de l'élite se ferait devancer par les autres. Le reste de l'unité serait toujours en déplacement, au cas où il n'aurait pas trouvé ce qu'ils cherchent.

Le village n'était pas très important. Il y avait donc, assez de chance pour le troisième membre de l'élite revienne bredouille. L'équipe n'aurait alors, pas perdu du temps. Et en plus, Alry. Katlan pourrait les rattraper très rapidement, passant par la voie aérienne...

De son côté, le troisième membre de l'élite s'était séparé du groupe depuis un moment, lissant le paysage bucolique d'un regard scrutateur. Les émotions contradictoires qui l'assaillissent en ce moment, étaient en train de faire faillir son imperméable visage, qui présentait une mine apaisée.

En fait, depuis un bon moment son cœur ne cessait de faire des bonds dans sa poitrine. Son rythme cardiaque accélérait légèrement. Qu'avait bien notre cher membre de l'élite pour que son masque de quiétude faille ?

En fait, découvrons-le...

...flash-back...

Alry, quinze ans plus tôt...

Le merveilleux petit garçon qu'était Alry. Katlan en ce temps-là, rentra tout joyeux dans sa maison. Il avait passé une superbe journée, en compagnie de son meilleur ami. Et maintenant, il était tellement fatigué qu'il ne ferait plus long feu debout. Au pas de leur modeste porte, une enivrante odeur d'épice qu'il reconnut aussitôt envahit ses narines.

Sa mère, Anaya faisait son repas préféré.

Il se hâta alors de rentrer, espérant la voir au salon. Cependant, elle n'y était pas.

Il la vis plutôt avec son père, tous deux assis autour de la petite table installée dans la cuisine, leur mine trahissant toute semblance de quiétude. Ils discutaient... ou disons plutôt qu'ils ergotaient sur un sujet qui les frustrait fortement. Alry se dissimula alors dans un coin de la pièce pour ouïr.

- Ils vont sûrement attaquer ce soir et on ne peut plus s'enfuir pour Súaf !, tonna brusquement Rys, son père.

Le jeune garçon sursauta dans sa cachette. Il n'avait jamais vu son père s'emporter ainsi, et ce, quelques soit la situation. Il avait toujours fait preuve d'un équilibre mental troublant. Alors le voir ainsi, annonçait l'état alarmant des choses !

- Il ira avec Moras. Je lui fais confiance, ils pourront voyager rapidement, et en sécurité, lança timidement sa mère.

- Espérons bien, je n'arrive pas à croire que toute cette maudite histoire nous rattrape et s'acharne sur mon unique garçon !, renchérit encore son père hors de lui, avant de frapper brutalement son poing contre la table.

La mère d'Alry regarda son époux, malheureuse.

C'était la première fois qu'Alry voyait son père s'emporter pour autant et une telle tristesse envahir les traits de sa génitrice. Elle passa derrière son père, et lui massa les épaules.

Et c'est quand il senti des gouttes humides se poser sur son cou qu'il tourna son regard vers elle et à la vue de son visage, s'extirpa aussitôt de sa chaise ébranlé et vient la serrer dans ces bras. Elle se lova aussitôt contre lui et éclata en sanglot, reniflant et en murmurant des mots inaudibles.

Rys, son père se mit à murmurer des mots apaisants à l'oreille de sa femme.

Alry s'éclipsa aussitôt pour aller derrière la maison, où il se laissa négligemment tomber au sol en soupirant.

Mais que se passait-il ? Que voulait signifier cette conversation qu'il avait par mégarde entendue ? Il y allait y avoir une attaque ! On parlait de lui sauver la vie mais de quoi ?

Et se succédant ainsi, un nombre impressionnant de questions affluèrent dans son cerveau de telle sorte qu'il en eu mal au crâne.

Il savait très bien qu'on parlait de lui mais, pourquoi devrait-il partir du village ? Qui allait attaquer ? Et où irait-il ?

Décontenancé, il passa un long moment à réfléchir puis rentra après. Il dégusta goulûment le repas que sa mère avait préparé. La nourriture, savoureuse lui avait fait oublier, pendant un moment la discussion qu'il avait entendue.

Cependant, toutes les paroles lui revinrent en tête durant le repas, quand il sentit...

Quand il sentit le regard inquisiteur de sa mère, qui ne le lâchait pas des yeux. C'était comme si, elle cherchait à encrer son image sous ces paupières afin de ne jamais l'oublier.

Cependant, au moment où il entreprit d'ouvrir la bouche, quelqu'un frappa à leur porte. Une fois ouverte il pouvait bien distinguer avec sa forte allure, la silhouette de Moras, un apprenti de son père qu'il aimait beaucoup.

Les lèvres du jeune garçon se fendirent en un large sourire et il le salua brièvement. Ce dernier en fit de même, avec son éternel air chaleureux, avant de le laisser pour discuter un peu avec ses parents.

Bien sûr qu'Alry aurait voulu espionner cette discussion, mais il ne put se soustraire, à l'intimidante autorité soudaine de son père.

Quelques instants plus tard, Anaya et Rys câlinèrent leur fils. Cela ressemblait tellement à un adieu... Non !, ça l'était !

Et quand elle daigna enfin le lâcher, sa mère en larme, lui dit en le fixant droit dans les yeux : « Alry, n'oublie pas que nous t'aimons, tu es notre prince, tu es le prince ! N'omet jamais le fait que les Katlan sont des pur-sang ».

Et ce fut à ce moment-là, que le jeune garçon qu'était Alry compris enfin l'enjeu de ce qui se tramait. Il n'accordait aucune attention aux propos de sa génitrice qui se détourna de lui en serrant les poings. Il se débattit comme un démon. C'était la dernière fois qu'il voyait ses parents mais en cette époque, ne le savait guère...

Son père qui avait les bras posés sur son torse tremblait. Mais il lui dit tout de même avant quelque chose, qui s'était sans effort gravé dans sa mémoire :

« Entre réussir et échouer...

La kyrielle des épreuves ne fait que se multiplier ;

Entre haïr quelqu'un ou l'aimer...

S'anime un tourbillon d'émotions entre nous deux ;

Qui semble contradictoire, puissant et disproportionné ! »

Et ce fut ainsi que Moras l'emmena, loin de ses parents. Il lui fit inspirer longuement dans un torchon dissimulé dans sa paume de main. Ce torchon à l'aspect inoffensif, dégageait une odeur bien trop anesthésiante qui fit démordre le jeune bien trop rapidement.

Alry cessa enfin de se débattre et sombra dans l'inconscience malgré lui.

Les jours après, il se réveillait juste pour manger, trop affaiblit pour tenter ne serais-ce qu'une réplique. Le décor changeait et à chaque fois qu'il se réveillait, il était si harassé qu'il pouvait à peine lever le bras. Le temps s'égrainait et quand il se réveilla enfin pleinement, trop tard.

Il était déjà à Súaf...

Le calvaire de sa vie avait ainsi débuté... Et il n'avait toujours pas compris les dernières paroles de ses parents !

...flash-back...

Et voilà une partie de son passé. La vie du Katlan avait alors changée. Il avait entrepris de retourner d'où il venait, voir ses parents, mais au début il ne savait même pas où il était. Il avait alors fait des rencontres... Et plus tard, il n'avait jamais retrouvé ce village.

Et c'est la possibilité que ce soit cet endroit qui le tiraillait ! La possibilité que ce soit son village d'enfance, le village du bois. Son cœur battait de plus en plus vite dans sa poitrine. Il fronçait les sourcils espérant voir le plus rapidement que possible, mais il n'avait pas des yeux d'aigles !

Alry voulait surtout savoir ce qui c'était passé après son départ en espérant bien que ce soit son ancien village, le village du bois.

Des choses fascinantes existaient dans ce monde. Dans ce village par exemple, la plupart des personnes avaient pour capacité de manipuler le bois ! Ils pouvaient manier cet élément de la nature, le façonner et même le recréer.

C'était bien trop fou d'imaginer pareille chose, quand on connaissait bien les légendes d'origines, prônant juste l'existence des six déesses élémentaires. Celles de l'eau, de la terre, de l'air, de l'ombre, de l'esprit et du feu. Voir les élémentaires de ce village à l'œuvre était simplement irréaliste et tellement beau à la fois. Le troisième membre de l'élite, s'en souvenait même encore, son meilleur ami durant cette joyeuse époque avait ce pouvoir...

Un soupire triste s'échappa de la commissure de ses lèvres et un voile de tristesse drapa ses yeux. Qu'était-il devenu ? Alry se souvenait de son visage, incroyable, après tant d'années passées. Il avait tellement pensé à lui au début, que son visage était finalement resté. Et son nom aussi : Nalhim...

Quelques instants plus tard, on pouvait déjà apercevoir les faibles remparts assez hauts protégeant un endroit où l'infime espace entre les arbres s'élargissait. L'aigle se posa dans un coin un peu éloigné, laissant son cavalier descendre. Alry. Katlan sauta comme à son habitude, et se dirigea d'un pas rapide et pressé vers ce qui semblait être le village.

Il ne savait pas pourquoi il y en avait un, mais un grand portail massif signalait l'entrée du village. Un lot de personnes se tenait là, certains portant des marchandises, la plupart entrant dans l'enceinte tandis que d'autres en ressortaient.

Alry se faufila parmi eux la tête baissée.

Et une fois qu'il fut entré, les battements de son cœur augmentèrent d'intensité, il reconnut aussitôt plusieurs parties du village, d'autres cependant lui paraissaient totalement changées. Plus il posait ses yeux sur différentes choses, plus son cœur s'emballait.

Un effluve de souvenirs émergea si vite que le troisième membre de l'élite se sentit défaillir. Il reconnaissait presque tous !

Toutes ses différentes odeurs enregistrées dans son cerveau, faisaient remonter des souvenirs qu'il pensait enfouis à tout jamais !

Il se souvenait de cette fameuse attaque dont ses parents avaient parlés mais n'en voyait des traces nulle part. Il fut soudain pris d'une envie trop forte d'avoir des réponses à ses questions qu'il se posait depuis tant d'années déjà. En fin de compte, il n'était pas le plus qualifié pour cette mission...

Péniblement, Alry remit rapidement de l'ordre dans ses pensées. Il ne voulait plus souffrir, il savait ce qui s'était ce qui s'était passé et ne voulait plus fouailler dans le passé. Il se mit en quête de ce pourquoi il était en ces lieux. Trouver comment soigner l'héritière et reprendre sa route.

Ces parents n'étaient plus là... Depuis longtemps !

L'intérieur du village, était tout ce qu'il y avait de plus simple ! Tout ce que les yeux du troisième membre de l'élite touchèrent était tous fait en bois, même les maisons. Cela se voyait bien que ces personnes-là, vivaient exclusivement de la forêt.

La plupart des habitations, n'étaient pas très grande, et juste quelques-unes se démarquaient du lot. On voyait quelques arbustes au coin de rares petites ruelles, mais à part cela, pas une très grande végétation à l'intérieur du village.

Les passants étaient pour la plupart vieux et arboraient une mine fatiguée. Expressions mornes, leurs épaules affaissées, sous le poids du travail et de la vieillesse. Leurs regards étaient lourds de sens, mais on voyait aussi assez de jeunes avec leur carrure travaillée, et quelques rares enfants bouillonnant d'énergie qui se chamaillaient.

Les yeux d'Alry, happaient tout sur tout et scrutaient profondément ce sur quoi ils se posaient. Après un long moment de marche sur cette terre qui lui était redevenu inconnue, il repéra ce qui lui semblait être une taverne et s'y engouffra. Les lieux bondés de monde étaient les meilleures sources d'informations.

Ce fut une odeur de boisson chaude qui l'embrassa, dès qu'il posa ses pieds dans l'établissement. Alry se logea à une table au fond de la pièce, et inspecta rapidement l'endroit qui était moins peuplé que ce qu'il aurait imaginé.

Quelques instants après, pendant qu'il pensait à échafauder un plan pour avoir les informations dont il avait besoin... Un homme barbu, trapu, et vêtu d'un tablier kaki, ses mains tavelées de petites taches brunes se rapprocha, puis s'adressa à lui d'un ton clément :

- Que puis-je faire pour vous jeune homme ?

Alry le regarda et pris son air le plus chaleureux que possible.

- Bon jour à vous ! Je suis passant et je me demandais si je pourrai trouver un endroit où il se vend des potions, reconstituants et tout ce qui aurait attrait à la médication.

Le tavernier le regarda d'un drôle d'air, personne ne parlait aussi raffiné ici. Il n'avait compris que l'essentiel du message. C'était réellement un passant, et, mais comment il était parvenu à... Piqué par la curiosité, le tavernier s'osa à poser une question un peu indiscrète.

- Je sais que cela semble indiscret mais est-ce que j'pourrai avoir votre prénom ?

Alry se renfrogna intérieurement. La discussion n'était pas son fort, et celui qui se trouvait devant lui semblait perturbé. Il aurait bien voulu lui sortir une de ses habitudes, qui prouvaient qu'il n'aimait pas trop qu'on s'intéresse à lui, mais il se ravisa.

Le troisième membre de l'élite n'était pas fort pour converser, donc il lui fallait rapidement profiter de cette occasion qu'il avait de causer avec un autochtone.

En plus, le temps passait et il n'avait pas envie de révéler sa vraie identité. Il valait mieux rester sur ses gardes. Il opta alors rapidement pour l'option la plus simple :

- Oui, bien sûr, je me nomme Hamon !

- J'ne sais pas trop pourquoi, mais vous me semblez vachement familier. Une impression de déjà-vu qui remonte à longtemps. Cela dit, votre nom n'm'dit rien, y en a pas de ce genre dans la région ! Connor sert de l'eau par ici !, beugla le tavernier à un jeune homme qui disparut aussitôt derrière les comptoirs.

Voilà pourquoi le Katlan ne voulait pas s'identifier, il y avait sûrement peu de chance mais il ne voulait en aucun cas qu'on le reconnaisse. C'était presque impossible, mais quand sa conscience le prévenait, dans ces cas-là, il préférait simplement l'écouter.

Et voilà que le tavernier se mettait à lui parler d'impression de déjà-vu... Avec sa drôle de façon de parler, les gens d'ici étaient-ils tous pareils en s'exprimant ?

- J'vais donc vous orienter, y a bien un marché ici, mais j'préfère vous envoyer chez quelqu'un. Il y a un jeune homme de ta trempe qui étudie la guérison et ces machins-là. Il pourrait sûrement t'aider et t'as de la chance, car il passe tous les jours ici dans pas longtemps. Si tu peux attendre quelques instants, il n'devrait plus vraiment tarder.

Désagréable, et drôle de manière de parler. De passer du vouvoiement au tutoiement sans scrupule. Le Katlan ne put s'empêcher de soupirer. Cela changeait des expressions parfaites de tous les jours !

Le jeune garçon qui s'était empressé de disparaître il y a quelques instants, réapparu. Un plateau en main, avec un gobelet et un pichet posés dessus. Alry se rendit enfin compte à quel point il avait soif.

Il accepta alors l'offre du tavernier, en le remerciant simplement d'un ton presque faux. Ce rond monsieur était sans doute sympathique, mais ce genre de choses Alry. Katlan ne le ressentait plus !

En fait, mis à part la douleur que ressentait-il d'autre ? Il n'arrivait plus à percevoir, ces choses si simples et si belles.

Sa vie l'avait modelé, qu'était devenu son cœur ? Ce qu'il ressent est indéfini...

Décidément s'il avait compris une chose c'était ceci : « ce n'était pas l'âge qui fondait la maturité ou le caractère d'une personne, mais plutôt ses expériences ». Perdu dans ses pensées, et nonobstant sa grande soif, il fixa longuement le gobelet et le pichet posé devant lui avant de se servir.

Il ne s'attendait ni à ce que l'eau soit aussi fraîche, ni à ce qu'elle ait ce goût délicieux dans sa bouche. Son passage dans la gorge d'Alry lui rafraîchit agréablement l'œsophage. L'eau réanima ces cordes vocales.

Cependant, se délectant de sa boisson, il perçut vite quelqu'un faire son entrée dans la taverne.

C'était un jeune homme qui devait surement avoir le même âge que lui. Il avait une allure dégagée et était svelte. Portait des lunettes arrondies et avait l'air fatigué. Il était un peu plus élancé que le troisième membre de l'élite, avait des cheveux marron très clairs et son visage...

Les sourcils d'Alry se froncèrent d'eux-mêmes, et il scruta les moindres petits détails de la personne. Il pouvait reconnaître ce visage qui semblait avoir mûri entre milles...

@Erson

Que pensez-vous de cette nouvelle directive ? Et mon nouveau perso. J'vous assure qu'il est trop drôle (Et oui le tavernier). Drôle de manière de parler, et quand je pense qu'il parle comme certain d'entre vous. Alors, j'ai raison ? Alors pour vous, qui est-ce que Alry va encore rencontrer encore ? Et cette pièce dévoilée de son passé ? Vivement les retours... J'espère que comme les autres, vous avez aimé ce chapitre !! Et n'oubliez pas de voter et de commenter ! C'est important !

À + pour la suite les élémentaires !☺☺

@Erson