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09 | ❝ C'est juste un mauvais choix

9 | what i've done — linkin park

BERLIN, Allemagne.

Je regardais la ville défiler par la fenêtre. Le front collé à la vitre, ma respiration obstrué ma vision par un fine couche de buée. J'en avais marre, j'étais fatiguée par les heures de vols que nous venions de passer pour arriver en Allemagne et mon dos... Mon dos me faisait atrocement mal. Le moindre mouvement me procurait une douleur insoutenable et ne rien faire me faisait penser qu'à ça. A côté de moi, dans le minibus de la CIA, Sam regardait ses pieds, le Cap lui regardait droit devant lui tout comme le roi. J'en avais assez de rester là à ne rien faire, il fallait que je parles. Je me redresse doucement.

— Votre costume de chat, commençais-je sur un ton provocateur.

— Alana, m'interrompt Steve.

Je l'ignore et continue.

— Vous en faite pour femme ? Parce que la prochaine fois que vous avez dans l'idée de me balancer contre un pilier, donnez moi un de vos costume.

Steve pousse un long soupire.

— La panthère noir n'est pas qu'un simple costume, raconte t-il.

Je décide d'arrêter de l'écouter rapidement, je n'en ai rien à faire de ses histoires de croyance et protection. Je le laisse raconter ça pour l'ancêtre qui semble passionné.

Nous arrivons au quartier général de la CIA. La voiture entre dans un garage et s'arrête. Un homme nous ouvre la porte. En descendant je tombe face à l'espèce de cellule mobile dans laquelle il gardait Bucky. Il me regarde, il est inquiet.

— Avance, dit un agent de la CIA qui me donne un coup dans l'épaule.

Je rejoins le Captain face à Sharon Carter et un homme de petite taille, les cheveux grisonnant. Je m'avance sans m'être présentée, ni même avoir dit bonjour.

— Qu'est ce qu'il va lui arriver ? demandais-je.

— Alana, chuchote discrètement Steve en m'attrapant l'avant bras délicatement.

L'homme au cheveux gris pouffe de rire mais ne compte pas me répondre. Je regarde Steve qui me lâche et plante son regard dans celui de Sharon qui commence à faire les présentations.

—Voici le directeur de la CIA, raconte rapidement l'ancienne agent 13.

Je croise les bras. Je me retourne et regarde une dernière fois Bucky.

— Arrête de rêver, dit Sam qui me tire par le bras pour les suivre.

Je vérifie si ma chaîne est toujours autour de mon cou, elle y est. Je suis soulagée. Nous nous dirigeons vers un ascenseur. On allait soit disant être poster dans une salle et non une cellule. Qu'elle bonheur. Expliquez moi la différence entre être enfermer dans une salle et une cellule ? Il y en a aucune, mise à part le fait que l'une s'appelle "cellule" et l'autre n'a pas de nom. T'Challa part de son côté avec le directeur.

— Je vous prierez de rester bien sagement ici, nous dit Sharon avant de fermer la porte.

— Et si c'est pas le cas ? Il se passe quoi ?demandais-je.

— Sergent Ramirez, se met à rire l'agent. Vous vous tiendrez à carreau.

Elle me lance un jolie sourire narquois et ferme la porte derrière elle. Je me retourne vers les autres un peu outrée.

— Et en plus elle se permet de me commander. Merveilleux !

Steve s'assoit sur le siège devant la table, Sam fait de même. Moi, pour ne pas faire comme tout le monde je pose mes fesses sur la table. Le silence règne mais je vois bien la contrariété sur le visage du Cap. Je lève la tête en l'air prend une bouffée d'air puis le regarde.

—Je suis désolée, dis-je à leurintention.

— Désolée de quoi ? demande Sam.

Steve lui ne semble pas vouloir en parler, il retient sa respiration et fixe le sol. J'insiste.

— S'il te plait, Cap. Dit quelques choses.

— C'est de ma faute, dit-il.

— Pourquoi serait-ce ta faute ? demandais-je en fronçant les sourcils.

— Je n'aurais pas dû te laisser partir, dit-il en relevant la tête vers moi avec un regard remplie de déception.

— Non, ton erreur ce n'est pas celle-ci. Ton erreur c'est de m'avoir mis sur la touche après ce qu'il s'est passé à Lagos, dis-je.

— Tuu es bien trop dangereuse, tu ne sais pas te gérer, tu... commence t-il.

—J'ai quoi ? demandais-je les yeux vacillant. J'ai tué des personnes innocentes, c'est ça ?

— Ce n'était pas ta faute, soupire Sam voulant calmer le jeu.

— Si ça l'était, Sam, soutient Steve.

Je descend de la table et fait les cents pas devant.

— C'est quand même pas possible ça ! Tu savais qui j'étais tu savais de quoi j'étais capable et tu, dis-je en insistant sur le tu. Tu m'as accordé ta confiance et laisser intégrer les Avengers !

—Ce n'est pas le moment d'avoir cette discussion, dit-il dans le plus grand des calmes.

Je m'approche de lui et attrape son col de veste violemment.

— Ce n'est jamais le moment avec toi ! hurlais-je.

— L'erreur n'était pas de t'avoir mis sur la touche ni même de t'avoir laisser partir l'autre soir, mais l'erreur est plutôt de t'avoir intégrer aux Avengers ! s'impose t-il devant moi agressif. Je n'avais pas les idées clairs et j'ai pris la décision sur un coup de tête.

Je sers les poings et cogne Steve au visage. Il ne bronche pas d'un poile et garde son sérieux ce qui me mets hors de moi. Je le pousse à plusieurs reprise en lui criant dessus.

— Tu n'es qu'un espèce de..

Il rattrape mes deux bras pour que j'essaie de me contenir. Il vient de me dire des choses extrêmement blessante mais son regard disait le contraire. Je ne savais pas quoi faire. Il s'approche doucement de moi mais je le repousse et lui dit de lâcher mes bras.

— Maintenant laisse moi tranquille.

Je m'approche de la porte et m'appuie devant elle la tête contre la fenêtre de la porte pour regarder le mouvement. Je cogne à la porte.

—S'il vous plait, je voudrais aller au petit coin.

Le garde me l'accorde, il ouvre la porte et m'indique le chemin sans me suivre. Il ne se méfie pas vraiment à ce que je vois.

J'avance comme il me l'a indiqué. Je me dirige vers les toilettes. Je n'ai absolument aucune envie présente je voulais juste sortir de cette pièce. Je ne pouvais pas rester une seule minutes de plus avec lui dans cette pièce. En allant au toilette, j'aperçois dans une pièce transparente Tony. Je me demande bien ce qu'il magouille encore. Je pousse la porte des toilettes puis entre. J'allume le robinet et me nettoie le visage un peu. L'eau fraîche me fait du bien le temps d'un instant.

— Comment tu vas ?

Je relève la tête. Natasha. J'attrape du papier pour me sécher le visage.

— Retour à la case départ.

— Qu'est-ce-que Stark fait ici ? demandais-je.

— C'est lui qui vous a envoyé les flics, dit-elle.

— Il compte nous lâcher quand avec ses accords ?! m'agaçais-je.

— Il défend sa cause. Il a de bons arguments.

Je la regarde en fronçant les sourcils.

— Ne me dit pas que tu as signé ?

Elle baisse la tête et s'approche de moi.

— Je pense que Tony à raison, il nous faut quelqu'un pour nous dire ce qui est juste de faire ou de ne pas faire.

— Mais il y avait Steve pour ça ! Certes il a souvent tort mais au moins il fait ce qu'il pense juste, il est libre et sauve les gens, c'est pour ça que tout le monde lui fais confiance ! Natasha, cela ne te ressemble pas.

— Steve est considéré comme un hors la loi à présent, je suis désolée.

— Je préfère est considéré comme une criminelle que de manquer à mes principes.

Natasha sait que j'ai raison, elle sort des toilettes et me laisse seule un moment. Je réfléchi à la situation. Je me regarde dans le miroir. Je ne me reconnais pas. Je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ce qui est juste ou non. Je suis un simple pion parmi les autres. D'un coup mon poing atterrit dans le miroir qui se brise d'un coup. Je me laisse ensuite glisser contre le mur.

Le courant se coupe, je redresse la tête pour essayer de comprendre. La lumière s'est juste éteinte. Je me relève pour la rallumer avec le bouton impossible. J'ouvre la porte des toilettes, le personnel courait dans tous les sens. J'avance un peu plus, je vois Natasha et Tony s'enfuir avec l'Agent 13, je ne vois plus Steve et Sam. Le directeur de la CIA passe en courant parlant dans un talkie-walkie.

— Retenez le, envoyé tous les agents ! Rattrapez moi cet individu !

Cet individu ? Qu'est-ce-qu'il se passe ? J'attrape le même chemin que Stark et Natasha, je prend les escaliers de secours qui me mène au rez de chaussée. Stark, Natasha et Sharon combattait le Soldat de l'hiver plutôt bien décidé à écarter tout sur son passage. Natasha grimpe sur Bucky et s'accroche avec ses jambes autour de son cou, il lui donne plusieurs coup mais elle ne lâche pas, il s'approche d'une table et lui fracasse le dis violemment dessus. Elle crie et le lâche, Sharon n'a même pas le temps d'enchaîner deux coups de pieds qu'en un coup de bras il l'a balaye. Je décide de sortir de l'ombre, il est dos à moi prêt à s'enfuir, je cours à toute vitesse et lui grimpe dessus, je coince mes jambes autour de son coup et bloque son bras en métal. J'entends le mécanisme à l'intérieur se bloquer. Il essaie de toute ses forces de me faire lâcher, mais je suis bien décidé à ne pas céder.

Il décide alors de me jeter au sol de sorte à me faire mal, j'hurle à cause de mon dos. Il se retourne et donne un coup que j'esquive, il donne le même de l'autre côté que je retiens. Il est surpris, il force un peu plus, je fais de même avant de céder je dévie son bras contre le sol et donne un coup de genou dedans. Il tombe au sol, j'en profite pour me relever et faire une pose. Il se relève et se mets en position, je fais de même. Il attaque le premier avec un enchaînement de coup envoyé avec ses poings, je riposte rapidement avec un coup de pied dans le côtes et un crochet du droit dans sa mâchoire. Il titube, il reprend ses esprits et s'agace. Il devient plus hargneux et enchaîne de nouveau coup, je me déconcentre une seconde. Une seconde qui aura suffit pour qu'il m'attribue un coup dans le visage. Je lui rends mais l'évite. Il retient mon poings et me regarde dans les yeux. Il sert, j'hurle et lui donne un coup de pied dans le torse. Il attrape ma jambe, me soulève et me fait traverser la pièce, je m'écrase contre la cage d'ascenseur. Mon dos... La douleur est atroce, ma tête me tourne, ma vue de floute, je m'évanouie.

J'entends des bips autour de moi, des bips réguliers. Je sens cette odeur de désinfectant qui me pique le nez. J'ouvre difficilement l'oeil droit, la lumière de la salle est éblouissante. J'approche mon bras au dessus de mes yeux et les ouvrent complètement. Autour de moi tout est blanc, je suis dans un espèce des moins agréable. Je tourne la tête vers la source du bruit. Je suis à l'hôpital. Les tuyaux dans le nez me chatouillent, je les retirent d'un coup et éternue juste derrière. Je retire aussi la perfusion, les machines se mettent à biper. La porte s'ouvre, une infirmière.

— Mademoiselle, non ! Ne retirez-pas la perfusion !

Elle m'appuie sur les épaules pour me maintenir coucher, elle remet la perfusion. La porte s'ouvre à nouveau, je regardes. Stark. Je pousse un long soupire et me laisse tomber sur le lit.

— Laissez-nous, indique l'homme en costard.

L'infirmière s'en va et ferme la porte derrière elle. Tony s'approche du fauteuil dans le coin de la pièce, il s'assoit et croise les jambes.

— Qu'est-ce-que je fais ici ? demandais-je.

— Vous ne vous souvenez pas, Sergent ? demande t-il alors que je lui fais signe que non. Vous vous êtes confrontés au Soldat de l'hiver.

Maintenant ça me revient. Stark pousse un léger rictus.

— Votre petit protégé n'y a pas été de main morte, se moque t-il.

— Pourquoi suis-je ici ? Où est Steve ?

— Justement, je pensais que vous pourriez m'éclairer.

— Pourquoi suis-je à l'hôpital ? insistais-je.

— Vous avez subi un sacré choc, La CIA a préférée vous conduire ici, explique t-il.

— Et vous ? Que faites-vous ici, Monsieur Stark ?

Il se relève et s'approche de moi

— Je suis ici pour vous sortir d'ici sans problème.

Je pouffe de rire.

— Vous êtes une criminelle. Vous avez deux solutions qui s'offre à vous, si vous acceptez de signer les accords vous êtes relâché et aux services du gouvernement. Si vous refusez c'est la prison haute sécurité.

Pour moi ce n'est pas négociable. Jamais je laisserais ces personnes me diriger, me commander.

—Le choix n'est pas si compliqué. La liberté ou la prison.

— La liberté ? Être dirigé par des clowns haut placés c'est ça la liberté pour vous ?

—Vivre comme une fugitif toute sa vie, c'est votre définition de la liberté ?

Je ne sais pas quoi lui répondre. Si je me rends, je ne pourrais plus sauver Bucky mais si je ne me rends pas je ne pourrais pas non plus le faire.

—Et Bucky ? demandais-je. Qu'est-ce-qu'il deviendra ?

— Votre ami sera arrêté et envoyé en prison.

— Non ! Pourquoi me laissez-vous le choix mais pas lui ? demandais-je.

— Pour essayer de sauver votre image !

Je ne comprend pas son entêtement pour ces accords. Mais je dois les signer pour me sauver, mais il ne me restera plus qu'une solution derrière. Je n'aurais pas le droit à plusieurs essaie, ni même de ne pas essayer.

—C'est d'accord.

Tony enlève ses lunettes et me regarde en fronçant les sourcils.

—Vous...

— Donnez moi vos foutus accords qu'on en parle plus.

Il sort de sa poche le livre que je suis censé signer. Il le pose devant moi et l'ouvre à la dernière page pour que je signe, il me tend un stylo. Je regard l'emplacement vide quelques seconde et pose le stylo dessus. Je signe puis referme. je lui rend tout.

— C'est un choix judicieux, dit-il sans que je lui réponde. Prenez-soin de vous.

Il ferme la porte derrière lui. Je me débranche et me relève. Mon dos me fait atrocement mal, je pense que quelques choses ne va pas. Je me dirige vers les fenêtres voir la hauteur. Que deux étages, ça devrait le faire. Il fallait que je m'enfuis. Que je parte loin d'ici. Je fouille dans l'armoir de la chambre, il y a un sac, je le prend, ce sont mes affaires qu'ils m'ont retiré quand je suis arrivé ici. Pile ce qu'il me fallait. J'attrape le sac et le sort de l'armoir, je sors les affaires de dedans et commence à m'habiller.

J'enfile mon sweat, le ferme et mets la capuche. Je range le sac à nouveau puis ouvre la fenêtre. Je me penche et regarde ou se trouve la gouttière. Parfait, elle n'est pas très loin. Je sors de la fenêtre, et la referme derrière moi. Je m'assois sur le rebord les pieds dans le vide. Je regarde en bas avant d'atteindre la gouttière. Je pose mes deux mains dessus et me lance dans le vide, je glisse quelques mètres mais réussis à me rattraper. Je souffle un coup, j'ai bien cru que j'allais m'écraser au sol. Je continue de glisser lentement puis atterrit sur la terre ferme. Je suis soulagé. Je commence à courir dans la ville pour m'éloigner au plus vite de l'hôpital. Je ne sais pas ou je suis, je ne sais pas si je suis toujours à Berlin. Il faut que je trouve une pancarte pour m'éclairer. Je continue ma marche tête baissé pour ne pas attirer l'attention, je tombe à une intersection. "New-York" C'est bon, je ne suis pas loin du QG. Je trouve une cabine téléphonique, il faut que je contact Banner quelques choses ne va pas avec mon corps. J'appelle le numéro du laboratoire de Banner, je savais que le retenir me serait utile. Le téléphone sonne.

— Aller... Répondez Docteur.

— Docteur Banner, j'écoute ? dit-il en décrochant le téléphone.

— Yes ! Banner, c'est moi. C'est Alana !

— Attendez.

Je l'entends parler à des gens et leur dire de s'en aller, il ne devait pas être seul.

—C'est bon, Alana pourquoi vous m'appelez ? Vous n'êtes pas censé être à...

— Je viens de m'enfuir, j'ai fais une terrible erreur et j'ai peu de temps pour la réparé, expliquais-je.

— Je n'ai même pas envie de vous demandez ce que vous avez fait.

— Très bien, ne demandez pas. J'ai juste besoin de votre aide. Est-ce-que vous m'aiderez ?

Il ne me répond pa...

— Banner ?

— Je vous écoute ?

— Il faut que vous me rameniez au QG, j'ai besoin d'examen... Je crois que votre pronostiques était très juste, dis-je avant de l'entendre soupirer. Eh ? Banner, vous m'aidez ?

— Je viens vous cherchez, rendez vous au parc.

— Merci.

Je raccroche. Je regarde autour de moi et cherche la direction du parc comme il m'a dit. C'est tout droit, je continue donc mon chemin dans cette direction.

[ 08.10.18 ]
2893 words

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