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Chapitre 3

« La peur nous terrassait et nous empêchait de réagir. »

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La meute était en deuil. Encore un meurtre en seulement quelques jours. Cette fois, c'était Rubis qui en avait fait les frais, la compagne d'Iye. Avant que l'on ne retrouve son corps, le cœur arraché, elle avait disparu.

Les Patrouilleurs, quant à eux, se portaient bien. Ils n'avaient rien vu de concret, si ce n'était le corps de la défunte, lorsqu'ils avaient repris leur esprit. J'étais persuadée qu'ils étaient deux à être venus sur nos terres. Celui au regard orangé, dont l'un des membres avait parlé, et celui que j'avais aperçu, aux yeux translucides...

Assise près d'Ahanu, je profitais de la brise en contemplant le paysage du haut de cette montagne. Quelques pommiers nous entouraient et l'odeur juteuse des fruits flottait. Le coin n'appartenait à aucune meute, et c'était mieux ainsi, mais nous avions dû éviter les Patrouilleurs pour pouvoir venir.

— Tu ne trouves pas ça bizarre, dis-je après un long silence.

— Quoi donc ?

— Que l'on tombe sur le cadavre de Rubis, le torse ouvert !

— La plupart des corps étaient démunis de leur cœur, alors pas vraiment...

— C'est bien ça, le problème ! m'exclamai-je. Tous étaient des mâles ! C'est la seule de sexe féminin que l'on a retrouvée morte ! Les autres sont portées disparues !

Iye était le dernier homme en date à avoir été tué. Des victimes avaient été récupérées, un trou béant dans la poitrine. Rubis, quant à elle, était l'unique femelle assassinée. Les autres disparues étaient introuvables, nous ne savions pas ce qu'elles étaient devenues.

Ses yeux acier s'écarquillèrent et sa bouche s'entrouvrit. Devant sa mine éberluée, un ricanement m'échappa.

— Mais tu as raison ! me félicita-t-il. Finalement, j'ai la preuve que tu as, ne serait-ce, qu'un minimum d'intelligence ! Je dois avouer que j'avais un doute, d'ailleurs.

Mon poing percuta le haut de sa tête. Un bruit s'éleva au même instant, ce qui m'arracha un sursaut. J'éclatai ensuite d'un rire franc.

— Et c'est mon crâne qui sonne vide ? pouffai-je, moqueuse.

Mais je perdis bien vite mon sourire face à son teint blême. Son attention était portée sur quelque chose derrière moi. Je me figeai quand une odeur inconnue effleura mes narines.

— Ça, ça ne venait pas de mon crâne..., m'apprit-il d'une voix blanche.

Un frisson d'horreur traversa mon échine et je tournai la tête en me crispant. Trois loups à la carrure impressionnante nous faisaient face. Ils ressemblaient à des Alphas tant ils étaient grands. Leurs musculatures étaient si développées que je me sentais ridicule à leurs côtés. J'en avais froid dans le dos.

Celui de gauche, le plus massif, avait un pelage ébène qui faisait ressortir ses yeux ocre animés d'une lueur étonnamment douce. Celui de droite possédait un poil prenant une teinte blanche qui contrastait avec ses prunelles aussi noires qu'une nuit sans lune. Ses babines retroussées nous défiaient de nous rebeller et un grognement rauque s'en échappait.

Mon regard finit par croiser celui du loup posté au milieu. Des sueurs froides dévalèrent mon épiderme quand j'eus l'impression de brûler sous ses iris orangés et scrutateurs, baignés d'éclats rougeoyants et dorés, comparables à deux flammes, d'autant plus intensifiés par son épaisse fourrure grise, parfois fauve. S'il n'était pas aussi massif que l'animal ébène, la prestance écrasante, voire dangereuse, qui émanait de lui semblait m'étreindre sans pitié.

Cela le rendait bien plus intimidant que ses coéquipiers. Et pourtant, il ne montrait aucun signe d'agressivité.

Ses deux alliés finirent par faire claquer leur mâchoire dans le vide. Leurs iris reflétaient toute l'hostilité qui les rongeait. D'un geste lent, je me redressai en humant leur parfum, le corps tremblant. L'odeur en commun qu'ils avaient m'était inconnue. Une nouvelle meute ? Des Sanguinaires ?

Apeurée, je fis malgré tout un pas pour me placer devant Ahanu sans quitter du regard le trio. J'étais la fille d'un Alpha, je me devais de protéger mes proches. Mon ami jura à mon encontre et sa voix dans mon esprit afin que les bêtes ne nous entendent pas :

« Arrête de jouer leshéros et barrons-nous d'ici ! »

« C'est lâche ! Il faut qu'on les affronte ! » grognai-je.

Il se tendit et son regard se teinta de doré. Son loup émergeait.

« Le temps que l'on se transforme, ils n'auront fait qu'une bouchée de nous ! »

Il avait raison. La mutation durait quelques secondes. Un instant de vulnérabilité. Beaucoup perdaient la vie en se métamorphosant, car leurs adversaires n'avaient aucun principe et attaquaient durant ce moment de faiblesse.

« Alors tu proposes que l'on prenne la fuite ? Mais, crétin, ils vont nous rattraper ! »

« Tu as une meilleure idée, peut-être ? » gronda-t-il.

Brusquement, je me tournai vers lui, empoignai son col et le secouai, assourdie par les battements de mon cœur.

— Bien sûr que non, gros-bêta ! m'exclamai-je. Tu crois que j'arrive à réfléchir convenablement avec toi qui paniques et cette bande d'enfoirés qui nous regarde comme si nous étions de la chair fraîche ?

Lorsque les grognements incessants des deux loups se turent et que mon ami blêmit, je compris que j'avais parlé à voix haute. Je relâchai son col en gardant mes yeux rivés dans les siens, prise de nombreux frissons. Je lâchai ensuite :

— Cours !

Et je détalai en agrippant fermement sa manche.

— C'était mon idée depuis le début ! s'écria-t-il.

Le rugissement des bêtes s'éleva à nouveau. Heureusement, même avec l'aspect d'un humain, nous avions une excellente vitesse, mais nous étions moins rapides que sous forme animale. Ils allaient nous rattraper, c'était évident.

Je relâchai mon ami qui avait le visage décomposé par la peur. Alors c'était ça notre destin ? Finir dévorés par des loups ? Magnifique mort, je ne demandais pas mieux !

Un bref coup d'œil me fit comprendre qu'il n'était plus près de moi. Un juron m'échappa. Il avait dû prendre une autre direction, cet idiot ! Je déglutis en faisant une prière silencieuse pour qu'il aille bien.

Le sentier défilait sous mes yeux et mes poumons me brûlaient. J'évitais des branches, bondissais par-dessus des rochers, tout en manquant souvent de trébucher.

Soudain, la voix d'Ahanu résonna dans mon esprit :

« J'ai deux molosses à mes trousses, et toi, t'as le troisième ! »

Je me détendis lorsque sa voix s'insinua dans mon esprit avant d'écarquiller les yeux en comprenant que je fonçais droit vers le bord d'une falaise. Je m'arrêtai avec hâte en manquant de peu de glisser. Mon pied percuta une pierre qui tomba pendant un moment. C'était haut. Trop, même... Le front en sueur, je me rongeai les sangs.

Je me tournai avant que mon regard ne se plonge dans celui du loup gris. Il marchait vers moi, le poil hérissé, l'air menaçant. Je remontai mes manches en le toisant furieusement. Devant ma mine sombre, il pencha la tête sur le côté.

— Très bien, sifflai-je, menaçante. Tu ne me fais pas peur. Il est hors de question que je saute de cette falaise pour m'échapper de tes griffes. J'ai trop de fierté pour ça.

Ses oreilles se pointèrent en avant tandis qu'il m'observait toujours. Ses babines se retroussèrent ensuite en un rictus. Je me faisais encore passer pour une idiote. Néanmoins, je repris d'une voix glaciale :

— Alors on va en venir aux mains, mon grand ! Je ne transformerai pas, parce que je suis persuadée que tu en profiteras pour me bondir dessus. Alors amène-toi, sac à puces !

L'animal fit un pas en avant alors que je le défiais des yeux. Son regard papillonna de mon œil gauche à celui de droite, puis un grognement sortit de sa gorge. Ses prunelles exprimaient un drôle de sentiment. Me jugeait-il, lui aussi, quant à ma différence ? Malgré moi, je sentis mes poumons s'oppresser.

Il rabattit ses oreilles en arrière en entrouvrant la gueule pour me dévoiler des crocs tranchants. Un coup de dents me serait fatal. Il s'avança à nouveau en faisant claquer sa mâchoire dans le vide dans un bruit sec, alors que son poil se hérissait pour lui donner un air encore plus terrifiant. Ses muscles roulaient sous sa fourrure grise à chacun de ses pas calculés, quand ses iris miroitaient des nuances chaleureuses du soleil. Le danger l'enveloppait comme une seconde peau. Malgré tout, je continuai de le défier pour lui prouver qu'il ne m'effrayait pas. Une voix rauque résonna dans mon esprit :

« N'essaie par de me faire croire que tu n'as pas peur, ça serait mentir. Tu es morte de trouille... »

Je me tendis net alors que l'animal émettait à nouveau un grognement. Son regard brillant me fit comprendre que c'était lui qui venait de prendre la parole. Mais comment était-ce possible ? Il n'était pas des nôtres, il ne pouvait pas me parler par télépathie.

Ou alors, il était un Alpha, car il n'y avait que les meneurs qui pouvaient communiquer avec n'importe qui d'autre, même avec des loups externes à leur meute.

« Je te fais peur, n'est-ce pas ? »

Je serrai les dents sans renchérir. Oui, il m'effrayait, mais je ne devais pas le laisser s'en servir contre moi. La peur nous terrassait et nous empêchait de réagir. Ce sentiment nous condamnait à l'avance. Il fallait passer outre si nous voulions survivre.

Le loup amorça un pas, mais je fonçai droit sur lui en poussant un cri de guerre pour le surprendre. Il s'arrêta tandis que je me postais face à lui en faisant de grands gestes.

— Barre-toi de là ! m'énervai-je. Trouve autre chose à dévorer, bon sang !

Il recula en me dévisageant pendant plusieurs secondes qui me semblèrent une éternité. Une lueur fugace traversa ses pupilles enflammées alors que ma respiration s'accélérait. Un grognement sourd s'échappa de sa gorge, semblable à un rire.

Se moquait-il de moi ?

Toute trace de surprise s'effaça ensuite de son faciès. Et là, il devint réellement menaçant. Ses crocs claquèrent devant ma jambe dans un bruit sec. Je m'empressai de reculer, sous le choc. Ses pupilles se dardèrent dans les miennes, les sentiments les traversant leur conférant un air bestial. Dément. Je trébuchai et retins un cri en apercevant, trop tard, sa mâchoire s'approcher de moi. Avant qu'elle ne se referme sur moi, je rabattis les paupières. Un bruit sec résonna à mes oreilles sifflantes.

Je rouvris les yeux pour croiser son regard de feu. Il avait claqué ses crocs dans le vide. Il s'approcha encore. Cette fois, il semblait prêt à m'achever.

Un galet percuta son flanc sans que je m'y attende. Le loup recula en scrutant les alentours, puis une seconde pierre le frôla. Il gronda, me lança un dernier coup d'œil et tourna les talons pour s'enfoncer dans les ténèbres. Tétanisée, j'inspirai l'air en clignant des paupières, le corps tremblant.

— Tu vas bien ? s'inquiéta une voix.

J'aperçus un homme aux iris d'argent s'approcher de moi en me tendant la main. Hésitante, je l'empoignai pour me retrouver sur pied. Je nettoyai mes vêtements en le dévisageant, toujours sous le choc. La blondeur de ses cheveux impeccables enjolivait ses traits bienveillants, sans toutefois amoindrir l'imposante cicatrice boursoufflée qui traversait son sourcil gauche jusqu'à sa mâchoire, en passant par son œil pétillant. Il semblait avoir à peine la trentaine, mais ses yeux gris et profonds le vieillissaient. Plutôt grand, il dégageait une aura assez impressionnante, contrastant avec le doux sourire qu'il affichait.

— Excuse-moi, s'empressa-t-il de dire. Je viens souvent par ici, et je t'ai vue faire face à ce loup. J'ai balancé des pierres pour le faire fuir.

— Merci, murmurai-je avant d'hésiter. Tu es un Solitaire ?

— Oui, je forme quelques alliances avec certaines meutes.

Dubitative, j'opinai alors que son air radieux s'accentuait. Il n'avait pas l'air méchant, mais il valait mieux que je reste sur mes gardes.

— Je m'appelle Yve, révéla-t-il. Enchanté !

Mes lèvres se tordirent en un rictus pour masquer ma méfiance. Je me présentai sans entrer dans les détails, et on redescendit de la falaise. J'étais toujours chamboulée par l'attaque de ces loups.

— Comment t'es-tu retrouvée face à ce Sanguinaire ?

— Je me promenais avec un ami..., chuchotai-je.

L'image d'Ahanu s'immisça dans mon esprit et une sueur froide dévala ma nuque. Comment avais-je pu l'oublier ? Je tentai de communiquer avec lui par le lien de la meute avec inquiétude. En vain. Rattrapée par la peur, ma gorge s'assécha. J'espérais que rien ne lui était arrivé...

— Tu te promenais ? répéta Yve, visiblement surpris. Ce n'est pas prudent, avec tous ces meurtres.

Perplexe, je le dévisageai en pensant encore à Ahanu. Yve s'expliqua :

— Les loups avec qui je forme une alliance ont eu beaucoup de pertes durant ces derniers jours. Quelque chose se trame.

Soudain, une voix résonna dans mon esprit :

« Aiyana ! Toujours en vie ? »

Un long soupir m'échappa en reconnaissant le timbre inquiet d'Ahanu. Il allait bien. Je lui répondis à l'affirmative quand des grognements s'élevèrent et que des odeurs familières titillèrent mes narines. Mon père et d'autres membres venaient vers nous. Ils avaient senti le danger lorsque j'avais fait face à ces loups, mais le temps qu'ils arrivent...

— Je vais te laisser, Aiyana. Je vais continuer mes recherches, m'apprit l'inconnu.

Il fit ensuite une révérence, saisit ma main et y déposa un baiser en m'envoyant un sourire charmeur. Je me tendis avant d'esquisser un rictus forcé. Il tourna les talons, les mains dans les poches.

Je finis par détaler en sens inverse en direction de mon père, encore chamboulée par cette rencontre.

Au bout de quelques minutes, je lui fis face. Il était accompagné de Bly et de ses deux plus grands Guerriers. Ses iris d'émeraude me transpercèrent avec sévérité avant que sa voix ne claque dans mon esprit :

« Monte ! On doit discuter ! »

Ses loups m'observèrent avec sérieux. Ils avaient l'habitude de telles scènes. Lessivée, je grimpai sur son dos en m'agrippant à son poil sombre, et il détala, suivi de ses alliés.

« Où est Ahanu ? » demandai-je.

« Il est aussi en route. Grâce à Magena, des membres chassaient à proximité. Ils l'ont entendu hurler sur des Sanguinaires ! »

Sa voix gronda avec froideur. Il se doutait bien que c'était moi qui avais mis Ahanu dans cette situation. Mes mains devinrent moites et tremblèrent. Il n'avait pas tort. Mon ami s'était retrouvé en danger par ma faute...

Une fois au camp, je descendis de sa croupe et aperçus Ahanu. Je m'élançai vers lui pour l'étreindre. Il caressa mon dos de manière rassurante et je me laissai submerger par sa chaleur réconfortante.

— Je suis désolée.

— C'est moi qui t'ai suivie, me chuchota-t-il. Tu n'y es pour rien.

Il esquissa un sourire avant que je ne l'examine.

— T'ont-ils blessé ?

Il secoua la tête, scruta les personnes autour de lui, et me glissa à l'oreille :

— À vrai dire, ils m'ont seulement suivi afin de m'éloigner de toi. Au même moment, des membres de la meute sont arrivés et les sanguinaires se sont éclipsés.

— Que voulaient-ils, à ton avis ?

Ahanu haussa les épaules, regarda derrière moi avant de blêmir, et il s'écarta en sifflotant, l'air de rien. Je me décomposai, livide. Traître ! Je soufflai en pivotant pour croiser le regard amer de mon père. Il s'était habillé et me toisait pour me faire comprendre que j'allais y passer...

— Que fichais-tu en dehors de nos terres ? siffla-t-il.

— Papa !

— Je ne plaisante pas, Aiyana ! C'est risqué, adulte ou non ! Tu aurais pu mourir ! On a tous senti que tu courais un danger avec Ahanu ! Vous savez pourtant que personne ne peut sortir hors de notre territoire !

Je baissai le nez, éreintée par un sentiment de honte, en avalant ma salive. Il avait raison. Encore une fois...

— Même rester sur nos terres est délicat, renchéris-je. Tous les corps ont été découverts chez nous, pas à l'extérieur ! Nous ne sommes à l'abri nulle part !

Ses yeux luirent et mes épaules se voûtèrent quand il m'écrasa de son aura.

— Obéis, Aiyana ! Cesse donc de n'en faire qu'à ta tête ! Il se passe quelque chose de grave ! La dernière fois, tu as été imprudente, et Paco s'est retrouvé sur le lieu du crime !

— Arrête de me reprocher tous les malheurs du monde ! hurlai-je. Je n'y suis pour rien ! Tu es persuadé que je suis maudite ou quoi ? Tu es censé avoir foi en moi !

Mon éclat de voix attira l'attention des membres aux alentours. Ils nous dévisagèrent, surpris, et je les toisai alors que mon père les ignorait. Pourquoi me reprochait-on tant de choses ?

L'Alpha s'adoucit, mais il ne chercha pas à s'excuser. Je reniflai avec dédain, l'âme en peine et le cœur empli de haine.

— Nous sommes tous en danger, Aiyana. Fais comme les autres et reste à l'abri.

Tendue, je reculai et crachai :

— Je veux aussi trouver le coupable, je peux être utile !

L'Alpha balaya mes paroles d'un revers de la main en sifflant :

— Tu seras utile en restant sur nos terres et en arrêtant d'apporter des problèmes !

— Ah oui ? ris-je, amère. Mais je pensais être LE problème. Tu l'insinues bien trop souvent !

J'avais touché un point sensible, visiblement. Il referma la bouche alors que je continuais :

— Je ne suis pas une catastrophe ambulante ! Je peux apporter mon aide à notre meute, mais tu es bien trop têtu pour le comprendre ! Si tu écoutais un tant soit peu ta fille, tu aurais compris que le meurtrier n'agit pas aveuglément.

Ses sourcils s'arquèrent de surprise. Je m'empressai de m'éloigner de lui en ignorant le chagrin qui me brûlait les yeux. J'allais trouver le coupable, avec ou sans l'accord de mon père. Je lui démontrerais une bonne fois pour toutes que j'étais capable de faire quelque chose.

Oui, j'allais le prouver.


Hello ! 😏

Voilà le chapitre 3 ! Qu'en avez-vous pensé ?

Avez-vous des théories ? Que pensez-vous des personnages ?

Manifestez-vous les gars !

Bisous ❤️

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