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𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟏









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C  H  A  P  I  T  R  E    1 1

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— tw : ×××



























           Un soupir franchit mes lèvres tandis que je grimpe la dernière marche menant aux portes de mon immeuble. Le fils de Fawzia est malade, ces derniers temps, alors je ne peux lui demander de rappliquer dès que quelque chose ne va pas.

           Elle a, en revanche, promis de m'appeler en vidéo dans une vingtaine de minutes.

— Quelle journée, je soupire en dépassant le comptoir où se trouve le portier. Bonjour, Adam.

— Attendez ! Madame !

           Je cesse d'avancer et l'homme se tourne vers moi, un large sourire aux lèvres. Surprise, je marche jusqu'au comptoir duquel il se lève, me tendant une enveloppe.

           Dans un froncement de sourcils, je saisis cette dernière, assez lourde, qui émet un son métallique.

— Je...

— Uryu m'a demandé de vous la remettre, ce matin. Mais vous êtes venue quand j'étais en pause et ça m'est totalement sorti de la tête de vous rattraper.

           Il sourit. Mes sourcils se haussent et j'ouvre l'enveloppe, en extirpant des clés.

— Qu'est-ce que... Ce sont les clés de notre nouvelle serrure ? je demande.

— Oui, vous n'étiez pas là quand Uryu l'a faite changer alors il ne pouvait pas vous les donner directement.

           J'avoue ne pas bien comprendre.

           Lorsqu'il a changé les serrures, sachant que je suis co-propriétaire de l'appartement, il s'agissait-là d'un acte illégal. Je comptais donc simplement le menacer — car je n'ai pas les fonds pour passer à l'acte — d'un procès.

           Cependant, maintenant, j'apprends qu'il comptait me donner les clés de cette nouvelle serrure depuis le début.

— Je... Merci, Adam.

           L'homme me sourit et nous nous saluons. Caressant le métal froid de la clé, je marche jusqu'à l'ascenseur. Songeuse, je ne réfléchis pas réellement en appuyant sur le numéro de mon étage, agissant davantage par automatisme qu'autre chose.

           Non, mes pensées tourbillonnent en une tempête sous mon crâne.

           Je ne cesse de songer à ces derniers jours, la cacophonie qu'est devenue ma vie. Entre ma rupture brutale avec Uryu, ma nuit pleine de promesses en compagnie d'Aizawa, le choix de ce dernier de me renvoyer... Je ne sais plus où donner de la tête.

           Tout était calme, avant. Mais les ailes du corbeau ont caressé ma peau à la manière d'un mauvais présage.

           Il a annoncé, dans sa douceur, une chute à venir.

           Sortant de l'ascenseur, je franchis le couloir et me précipite sur la porte de mon appartement. A la dernière seconde, un tas de pensées ridicules me traversent. Et si ce n'était qu'une blague ? Et si la clé n'ouvrait pas la serrure ?

           Le claquement de cette dernière se déverrouillant retentit et je pousse un soupir de soulagement. Cependant le nœud dans mon ventre demeure. Uryu, à cette heure-ci, doit être rentré.

           J'ouvre la porte.

— Bonj...

           Ma voix meurt dans ma gorge et je me fige sur le seuil, abasourdie. Mes bras retombent le long de mon corps tandis que j'observe cet appartement devenu méconnaissable.

           Le canapé, blanc, n'est plus maculé des tâches de sauce tomate que je ne parvenais pas à défaire. Intacte, il baigne dans la lueur du soleil déclinant de ce début de soirée. Une couverture douce et rose repose dessus, d'un tissu plus léger que le tapis blanc de poils sur lequel est posé notre table basse en vert.

— Et bien...

           J'avais oublié la couleur de ce dernier. Soit, je passe régulièrement l'aspirateur dessus cependant il était devenu grisonnant, avec les années. Je n'avais jamais trouvé assez de temps pour l'amener chez le teinturier. Tout comme cette table basse de verre, maculée d'aucune trace de doigts et, surtout, décorée de fines lignes d'or en mosaïque dissimulant les rayures semble connaitre de nouveau jour.

           Un plateau orné de quelques plantes et bougies est placé au centre. Les baies vitrées, autour de nous, sont propres — même à l'extérieur. Les lampes aux abat-jour abîmé en ont de nouveau. Chaque ampoule de notre plafonnier, une longue vague cernée de globes lumineux, fonctionne.

           Une délicate odeur de jasmin embaume l'air.

— Tu es là !

           Je me retourne, découvrant Uryu, un tablier accroché autour de son corps et les mains rangées dans des gants. Il me sourit largement.

— Je... Qu'est-ce qu'il se passe ?

— Je ne vais pas me laisser faire ! lance-t-il dans un sourire. Tu te souviens quand on s'est mis ensemble ? On riait tout le temps...

           Hébétée, je ne cherche pas forcément à comprendre et le regarde marcher jusqu'à notre cuisine ouverte. Mes yeux louchent alors sur les joints du carrelage...

           Toute trace de moisissure a disparu.

— Je... Tu t'es occupé des travaux ? je chuchote.

           La routine nous a bouffé. Les habituels demandes que je lui faisais secondée des « je vais le faire » qui n'était, in fine, jamais faits.

           Depuis un certain temps, les joints de notre carrelage virent au noir par endroit, moisis. Nos tapis jaunissent, des traces indélébiles couvrent nos murs, nos canapés et même notre lit... Des meubles sont branlants, notre serrure a un défaut qui fait que lorsque le bois gonfle avec la chaleur, elle se réhausse légèrement et nous empêche d'y insérer la clé — nous conduisant, en période de canicule, à être enfermés.

           Mes sourcils se haussent brutalement.

— Attends... C'est pour ça que tu as changé la serrure ? je demande.

— La nouvelle est haut de gamme, elle ne bougera pas. j'en ai profité pour repeindre la porte ainsi que les murs trop tâché. J'ai apporté pas mal de chose au teinturier, j'ai passé tous tes vêtements au pressing, j'ai réparé la fuite dans la douche et j'ai rendez-vous demain pour corriger ce problème de lave-vaisselle.

           Mes sourcils ne veulent s'abaisser. Estomaquée, j'observe cet appartement mis à neuf. Cela faisait des mois que je désespérais de le récupérer ainsi.

           Je me souviens du jour où j'ai confié à Fawzia et Dan que j'hésitais à prendre une semaine de congé que je consacrerais aux rénovations. Estomaqués, ils m'ont dissuadé de le faire, me disant que je n'allais pas sacrifier autant de temps de congé pour quelque chose qu'Uryu devrait m'aider à faire.

           Mon cœur bat à toute vitesse. Là, je retrouve la maison que j'ai tant aimé. Celle qui m'a poussée à y investir toutes mes économies.

           L'appareil de clonage se fait lourd, dans ma poche.

— Ecoute..., soupire Uryu. Je n'ai pas été très tendre avec toi. Je n'aurais pas dû laisser Pascal te parler comme il l'a fait et encore moins te faire passer pour une folle aux yeux d'Aizawa.

           Mes lèvres se pincent. Il me regarde droit dans les yeux, le dos arrondi et les mains pressées au comptoir.

— Laisse-moi une chance, chuchote-t-il. Je te promets de faire des efforts. Regarde ce que je peux faire, quand je m'y mets !

           Il ouvre un tiroir et dépose sur la table un cube. Je reconnais l'écrin de la bague. Quelques images de cette soirée me reviennent. Son jogging gris tâché de gras, la boite balancée sous mes yeux, le retour à pied jusqu'à une station de bus, dans le froid.

           Il me lance un regard doux.

— Je suis un nouvel homme, maintenant.

           Un sourire étire ses lèvres.

— Tu veux bien m'accorder une deuxième chance ?

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— PLUTOT MOURIR !

— Chuuut ! je siffle, me tournant vers la porte fermée à clé des toilettes. J'ai pas mes écouteurs, il peut nous entendre !

— QUITTE-LE ! QUITTE-LE ! QUITTE-LE !

           Fawzia hurle, ses mains marquant la cadence tandis qu'elle les frappe. L'image de sa petite danse m'apparait saccadée à cause de la faible connexion.

           Nous sommes en appel vidéo. Je me suis cachée dans les toilettes afin de discuter avec elle. Je comptais la sermonner à cause de cet entretien d'embauche mais je n'ai pu lutter contre l'envie de lui raconter la surprise d'Uryu.

— Il a laissé Pascal te traiter de salope devant les autres employés parce qu'il avait honte. Il est parti raconter à tous tes collègues la demande en mariage foirée. Il t'a fait passer pour une érotomane devant le PDG. Bon sang, (T/P), tu vas pas épouser ce truc !

           Fawzia marque de bons points. Je dodeline de la tête, comprenant où elle veut en venir.

— Je... Je sais mais si tu voyais l'état de notre appartement, là.

— Dois-je encore te raconter comment Samir est venu au monde ? lâche-t-elle brutalement.

           Je ne réponds pas, incapable d'opposer quoi que ce soit à cet argument.

— Il va bien, d'ailleurs ? je demande, légèrement inquiète pour son fils.

           Fawzia tourne la tête, observant quelqu'un, par-dessus son épaule.

— Il dort. C'est une angine. Ma mère avait peur qu'il ait trop chaud alors elle l'a laissé devant un ventilateur.

           Je pince mes lèvres, souhaitant m'empêcher d'éclater de rire. J'adore la mère de Fawzia, elle a toujours des accès d'étourderies particulièrement adorable et elle est d'une mauvaise foi à tomber par terre.

— C'est elle qui te l'a dit ? je demande.

           Fawzia hausse les sourcils, penchant la tête sur le côté.

— (T/P), tu connais ma mère. Tu sais très bien que non. Mon père l'a vendue et elle a crié à la trahison, d'ailleurs. Elle dort chez sa sœur, ce soir, pour marquer son mécontentement.

           J'éclate de rire.

           Shaina, la mère de Fawzia, a toujours été très prompt à nier ses torts. Je me souviens encore de la fois où, ici, elle a cuisiné un plat et a oublié un ingrédient. Evidemment, ce n'était pas de sa faute mais de la mienne car ma cuisine n'est pas assez « intuitive ». Sinon, sa main se serait naturellement emparée de ce sachet de paprika.

— Il se remet doucement, lance Fawzia. Mais n'essaye pas de changer de sujet. Uryu n'est pas un homme sérieux. Il sent qu'il a merdé et fait des efforts... Mais ça durera quoi, une semaine ?

           Mes lèvres se pincent, elle n'a pas tort. Mon regard dérive sur les joints décrassés et le fond de la baignoire décapé. Je soupire.

— J'en sais rien... Peut-être qu'il a changé.

— (T/P), s'il t'a manqué de respect une fois, il le fera plusieurs fois... Chasser le naturel et il revient au galop.

           Mes joues se gonflent. J'observe la porte fermée. Je ne peux pas dire que la perspective de revenir vers Uryu m'enchante. Cependant ai-je vraiment la force de m'emporter dans un bouleversement radical de mon existence ?

           Changer de travail, d'appartements, d'entourage... Je ne crois pas avoir la force pour tout cela.

— Je ne sais pas si j'aurais la force de tout changer... Le simple fait d'aller à un entretien aujourd'hui m'a épuisée. D'ailleurs...

           Je pose un regard venimeux sur Fawzia qui se raidit aussitôt. Ses yeux s'écarquillent et elle ouvre la bouche.

— Attends...

— S'il n'y avait pas cet écran, je t'attraperais, Fawzia, je la menace.

— C'est pas ce que tu crois...

— Tu n'as pas partagé des informations compromettantes à une entreprise concurrente ?

— OK, c'est totalement ce que tu crois... Mais... MAIS ! répète-t-elle plus fort pour attirer mon attention lorsque je fais mine d'arrêter l'appel. Ils n'auraient pas accepté de te voir si je ne les avais pas un peu motivés.

           Fawzia hausse un sourcil croisant les bras, attendant ma réponse.

— Sais-tu combien d'entreprises il y a, dans cette ville ? Combien me feraient passer des entretiens d'embauche ? je tonne.

           Elle hausse un sourcil.

— Tu parles de la liste jaune d'Aizawa ? Celle avec des contacts dans les entreprises qu'il a rachetées ? Parce que tu veux toujours travailler pour lui ?

           Mes lèvres se pincent.

— Et si, là où tu vas, tu as à nouveau un problème de ce style ? Il te renverra à nouveau ? demande-t-elle.

— Ecoute, avec les indemnités qu'il va me verser, j'ai le temps de tenter auprès d'autres entreprises.

           Fawzia secoue la tête de droite à gauche.

— Cette ville n'est pas petite mais elle est pas grande non plus. Des postes comme le tien sont très demandés et la plupart sont occupés. Il va falloir jouer sur le piston. Le mien ou celui de ton charmant Aizawa.

           Je hausse les épaules, pas tout à fait sûre. Elle soupire.

— Ecoute, essaye d'appeler des entreprises. Mais s'il-te-plaît, ma belle... Ne tente pas de retourner chez lui. Tu as bien vu comment cela s'est finis.

— Mais..., je chuchote d'une petite voix.

           Les yeux perçants de Fawzia me griffent, à travers l'écran. Je n'ose pas lui avouer la vérité. Moi-même ai honte de ce que je ressens.

           Je crois que j'apprécie Shota. Non pas d'une façon romantique. Cependant j'ai la nette sensation qu'il était sincère lorsqu'il me proposait de faire le ménage dans son entreprise en attendant que je revienne.

— (T/P)... Tu es trop gentille. Tu ne peux pas faire confiance à quelqu'un que tu as rencontré hier et qui t'a renvoyée aujourd'hui.

— Je crois que c'est plus compliqué que ça..., je minaude.

— C'est plus compliqué ou tu veux que ça le soit ?

           Je soupire, mon cœur se faisant lourd. Mes épaules s'affaissent.

— Ecoute, ma belle. Quoi que tu fasses, je te soutiendrais. Je ne te dis pas qu'Aizawa est le grand méchant. Juste que, comme beaucoup de personnes, il fait des promesses en l'air et il te l'a montré, déclare-t-elle.

           Je baisse les yeux. Cela me coûte de l'admettre mais elle n'a pas tort.

— Alors oui, mon comportement a été déplacé et je m'en excuse. Mais Nael Fouad est ma marraine, elle m'a élevée en partie et je sais qu'elle ne te fera jamais un coup pareil. Tu mérites un patron qui sache traiter dignement ses employés, déclare-t-elle. Et ce patron n'est pas Aizawa.

           Un soupir franchit mes lèvres.

— Je sais pas... J'ai vraiment l'impression qu'il n'est pas mauvais.

— Oh, mais il ne l'est pas. Regarde, dès qu'il a appris que tu étais dans cette entreprise, il a lancé une enquête interne. Mais que ce serait-t-il passé s'il n'avait pas couché avec toi ? Jusqu'à ce que tu débarques dans le bureau d'Uryu, il était prêt à repartir et conclure que tout se passait bien dans cette filiale ! Juste à cause d'une conversation avec Uryu ! Comme s'il allait dire qu'il agissait mal...

           Mon ventre se noue.

— Aizawa n'est pas un mauvais gars. Enfin, je crois pas... Il a juste pas les pieds sur terre et il n'est pas fiable. Je suis pas sûre que tu gagnerais au change en allant dans une autre de ses entreprises.

           J'émets quelques bruits de bouche.

— Je t'ai menti, je ne t'ai pas dit que cet entretien concernait un poste d'espion industriel car je savais que tu n'y serais pas allé. Mais honnêtement, si on ne parle pas du poste, as-tu réellement eu la sensation que l'ambiance était la même, là-bas ?

           Je soupire.

           A vrai dire, je n'ai pas vu grand-chose de cette entreprise. Juste la dénommée Maëlle qui m'a d'ailleurs conseillé de vendre des secrets d'entreprises et a créé un chemin tout désigné jusqu'au placard à balais... Quel étrange personnage.

           Et Curtis, hormis sa crise de colère contre sa fille, a été plutôt sympathique.

— Je dois avouer que non..., je soupire. Mais l'espionnage industriel est...

— Bien payé.

— Illégale.

           Je fusille Fawzia du regard qui éclate de rire. Ses épaules se haussent et elle déclare :

— Ecoute, on va essayer de décrocher d'autres emplois de façon classique : déposer des CVS et attendre d'être rappelée. Seulement promets-moi d'y réfléchir.

           Je pousse un soupir.

— Et saches que pour racheter l'appartement, t'y arriveras mieux avec un salaire d'espionne industrielle.

— Fawzia...

— Je dis ça, je dis rien ! s'exclame-t-elle en levant les mains, haussant les sourcils.

           Je ris doucement.

— T'es libre, ce soir ? Je vais passer voir Dan.

           Ses conseils sont généralement plus avisés. Elle hausse les épaules et fais la moue.

— Je préfèrerai rester avec mon petit bout, déclare-t-elle. J'ai pas trop l'occasion de passer du temps avec lui, en ce moment... Je me sens coupable.

— Hé...

           Elle pose les yeux sur moi.

— Ton emploi occupe une bonne partie de tes journées et il adore ses grands-parents. Tu es mère célibataire, tu ne peux pas tout faire non plus.

           Elle soupire.

— D'ailleurs, vu que je suis temporairement sans emploi, n'hésite pas si tu as besoin que quelqu'un le garde.

           Un sourire étire ses lèvres.

— C'est vrai qu'Uryu a beau être un trou de balle, il s'occupe super bien de Samir.

           J'émets un rictus doux.

— Je vais y réfléchir. Je t'en reparlerais. En attendant, n'hésite pas à penser à ce dont je t'ai parlé.

           Je déglutis péniblement et acquiesce. Quelques échanges plus tard, l'appel s'interrompt. Puis, quelques coups sont portés.

— Oui ? je demande.

           La porte s'ouvre et Uryu m'offre un sourire.

— Un diner à l'Eléphant de Saphir, ce soir ? Ça te dit ? Mets ta plus belle robe.

           Là-dessus, il tourne les talons. La porte se referme et je pousse un soupir en basculant la tête en arrière. Travailler à nouveau pour Aizawa et rester avec Uryu ou faire un emploi illégal pour avoir de quoi récupérer mon appartement et vivre enfin tel que je l'entends ?

           La sécurité ou le bonheur ?

           Je saisis mon téléphone et pianote quelques instants.

« A : Dan.

On pourrait se voir, demain ? J'aimerais discuter d'Uryu. »

           Quelques instants plus tard :

« De : Dan.

Pas de soucis, ma belle. D'autant plus que t'as des choses à me raconter sur ce bel inconnu ;) »

           Je souris. Mais le rictus se fane bien vite.

— Putain, qu'est-ce que je vais faire de ma vie ?









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deuxième chapitre de cette

semaine, j'espère qu'il vous

aura plu !

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