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Chapitre Spécial Tuyau : Quel est ce chapitre sans queue ni tête ???

Tuyau se laissa tomber en arrière, tout doucement contre les genoux du général trop famous, j'ai nommé Tolis. Ses petits pieds de poupée balayaient l'air, elle avait l'air distraite, plongée dans ses songes.

Dans ceux-ci, elle s'imaginait rendre visite au Pape FuryFuryus (va savoir pourquoi y'a un pape dans ce lore, mystère et poule de gomme) afin qu'il leur donne sa bénédiction. Puis, ils pourraient papoter plans et projets, elle lui parlerait bébé et lui piquerait un fard, ne sachant plus où se mettre, soudain à l'étroit dans son armure dorée.

« Dis Tolis ? »

Elle ferma les yeux et sentit timidement une main se glisser dans sa chevelure sombre.

« Hm ?

- Tu voudras combien de bambins toi ?

- EUH ?, s'étouffa-t-il.

- Moi j'en voudrais pleinnnnnn, des dizaines et des dizaines ! »

Le général blêmit et s'empourpra à la fois, son visage arborant alors une couleur complexe. Il racla sa gorge, un chouia perplexe, et articula avec un semblant de contenance :

« Hmm, alors euh... pourquoi pas ? Mais peut-être qu'une vingtaine d'enfants serait exagéré..., tenta-t-il avant de trouver une solution plus viable, ayons d'abord un seul enfant voyons après ce qu'il en est. Non ?

- Très bien, je suis d'accord, concéda la danseuse, mais marions-nous d'abord, qu'en penses-tu ?

- Laisse-moi le temps de préparer ma demande en mariage et je promets de ne pas te décevoir », jura-t-il solennellement.

La jeune femme sourit doucement et les deux finirent par se câliner tendrement d'amour.

« Tuyau... », appela alors la voix.

La danseuse rouvrit les yeux mais se rendit compte que ce n'était pas son général qui l'appelait.

La voix semblait venir d'ailleurs.

D'un coup la scène devint floue et se fit brumeuse.

« Tuyau », appela à nouveau la voix.

Elle ouvrit les yeux définitivement cette fois pour tomber sur un décor plus moderne, un Tolis inquiet l'observant attentivement, penché sur elle.

« Hmm, qu'est-ce qu'il y a ?, maugréa celle-ci en baillant.

- J'ai eu peur que tu ne te réveilles pas, avoua l'ex-général en secouant la tête, tu n'arrêtais pas de m'appeler dans ton sommeil et de demander des enfants.

- Oh... », lâcha l'ex-danseuse embarrassée, son visage s'empourprant.

Le cynérien se rapprocha d'elle en souriant.

« Tu voudrais des enfants ma chère ?, s'enquit-il en venant coller son front à celui de la petite juge.

- Je veux bien, mais toi, le souhaites-tu ?, interrogea-t-elle à son tour.

- Ayons d'abord un seul enfant, voyons après ce qu'il en est. Non ? », proposa le cynérien en reculant légèrement sa tête.

Après ces mots, la jeune femme rit doucement, devant la confusion de son amant. Même dans une autre vie, il ne changeait pas.

Elle le regarda à nouveau et répondit :

« Tu ne voudras pas m'épouser d'abord ?

- L-là tout de suite ?!, s'étonna Tolis alors que la lilliputienne se jetait déjà à son cou pour le serrer tout contre elle.

Cette dernière éclata de rire.

« Non, pas tout de suite enfin ! Quand on sera prêts, quand tu... »

Puis elle se tut, confuse d'embarras. Elle songea en fait à leur futur et à leur mariage car il était devenu évident pour eux au fil du temps qu'ils scelleraient un jour leur alliance. Enfin, encore fallait-il que l'un deux saute le pas et il était impossible que ça soit elle, elle s'en sentait bien incapable.

Dans l'après-midi, ils décidèrent de casser la croûte au bord d'un lac.

« Paraît-il que c'est un lieu idéal pour les bains de minuit, fit Tuyau avec un clin d'œil.

- Oh euh... Sans doute, oui. »

Il piocha des morceaux de tomate et les grignota pensivement. Tous deux picoraient dans le panier qu'ils avaient amené et savouraient la douceur du temps.

Finalement, après un long temps d'hésitation, Tolis se mit à genoux devant la cynérienne et la demanda en mariage, ce à quoi la jeune femme répondit un « oui » tonitruant qui aurait pu être entendu jusqu'en Tuyauterie, dans un autre monde.

Le soir venu, ils remballèrent leurs affaires et s'en allèrent, la panse pleine.

Ellipse

Lors d'une soirée particulière, le couple, qui s'était tranquillement mis à table, avait reçu la visite directe de Clopélia... à leur porte... rien que ça.

« Je vous donne ce bébé pour que vous puissiez en prendre soin. Il est la réincarnation de Polters, déclara la déesse le plus simplement du monde, sous l'air ahuri des deux, sur ce, bisous »

Et elle se volatilisa devant eux.

Le couple avait alors finalement adopté le petit qu'ils avaient appelé Agride. Celui-ci avait de longs cheveux blonds, des yeux verts et des bonnes joues bien dodues.

Depuis, ils s'en occupaient comme leur propre enfant.

Ellipse

(Y a beaucoup d'ellipses dans ce chapitre)

« Tolis-chouuuuuu !!, appela une voix douce très aiguë, tu as pensé à prendre le biberon et les couches pour Agride ? »

Le dénommé Tolis arriva en courant à l'appel de sa belle, amenant les objets demandés.

« Oui, les voilà, déclara-t-il en les plaçant dans un grand sac.

- Parfait !, s'exclama joyeusement la petite juge en faisant virevolter sa robe, nous allons pouvoir nous rendre à la fête d'anniversaire d'Alexis.

- Quel âge fête-t-il déjà ?, s'enquit le jeune pali.

- Tout juste un an !! Allez, dépêche-toi, nous ne devons pas être en retard !! », pressa la jeune mania en prenant la poussette dans laquelle se situait un beau bébé blond aux joues dodues, mordillant et bavant sur son doudou chèvre.

Ainsi, les deux parents rejoignirent le reste du groupe, c'est-à-dire, le frère de Tolis, Solène, et Alfen, son époux, ainsi que leur bébé adopté, Almyène, âgé de deux ans.

Le trajet se déroula dans la bonne humeur alors qu'ils se rendaient à pied à l'adresse donnée.

Arrivés sur place, ce fut une grande maison qui les accueillit.

« Solène !!, s'écria un cynérien en les rejoignant en courant, je suis heureux que tu aies pu venir !!

- Moi aussi Soliès ! J'ai aussi amené Almyène avec moi pour que ton fils et lui fassent connaissance.

- Dis bonjour Alexis ! », enjoignit le dit Soliès.

Le petit s'avança et salua poliment le plus âgé :

« Bonjour Almyène »

Puis, il considéra le second petit, Agride, qui suçotait distraitement son pouce. De là, il s'approcha davantage et prit le blondinet dans ses bras, faisant s'entrechoquer leurs joues rebondies.

« Il est à moi, clama-t-il le plus naturellement du monde.

- Agr... »

Tolis avait amorcé un geste pour les séparer, il savait Agride difficile avec les inconnus, en particulier lorsqu'il s'agissait de le prendre dans les bras. Cependant, il n'avait pipé le moindre son quant à l'étreinte inattendue, ses doigts boudinés s'étaient simplement accrochés au haut tapissé de gralios d'Alexis. Il lui avait rendu son geste tendre. Toute l'assemblée en resta coite. La mâchoire de Tolis s'était même décrochée pour venir rebondir au sol, sous les yeux horrifiés de son épouse.

« Pas devant les enfants enfin grand fou !! », s'était affolée Tuyau en ramassant le morceau d'anatomie.

Soliès se fondit en un sourire attendri, il asséna un petit coup d'épaule à son époux, lui aussi sous le charme des deux enfants.

« Bon, et si nous passions à table ?, proposa ce dernier, invitant la famille à se déchausser.

- Hmm, ça sent bon par ici, fit la juge.

- Alors ! On va mettre les trois petits à la table des enfants et nous, on ira à la table des adultes », proposa Soliès d'un air enjoué.

Le reste acquiesça et tous vinrent s'asseoir, après avoir déposé les enfants à leur table.

Ainsi, pendant que les adultes discutaient de choses variées et diverses, les trois enfants se distribuaient les portions.

Agride était placé sur une chaise pour bébés tandis qu'Almyène et Alexis étaient assis sur des petites chaises.

Almyène aurait bien voulu entamer la conversation mais Alexis n'avait d'yeux que pour Agride, le prenant finalement sur ses genoux devant le blondinet aux yeux bleus, et le nourrissant avec une cuillère. Almyène se sentait exclu dans ce moment de partage et en même temps admiratif devant la douceur du petit au teint mat.

Il se leva et tira un bout de chemise de son manio, l'interrompant dans sa conversation.

« Ma..., débuta-t-il.

- Oui Almyène ?, répondit ce dernier.

- Ma, j'ai compris maintenant ce que c'est que tenir la chandelle comme tu disais à tonton Tolis avant », expliqua le gamin.

La plupart explosèrent de rire devant l'air embarrassé du pauvre frère aîné de Solène.

« Mais, mais, Almyène ? Pourquoi ?, interrogea Solène d'un air surpris.

- Ben euh. Je veux pas déranger Alexis et Agride », se contenta d'avouer sans aucune jalousie le blondinet.

Tous tournèrent la tête pour apercevoir le fils de Soliès et Orias nourrir celui de Tuyau et Tolis.

Les adultes soupirèrent, ne voulant pas non plus interrompre un moment aussi mignon.

« Alexis veut peut-être des frères et sœurs », supposa simplement Tuyau en riant doucement.

Cela fit rire la tablée, au grand dam de Soliès qui rougit comme un homard.

La soirée se déroula tout de même dans la bonne humeur, Alexis ayant fini par s'ouvrir à Almyène, sans pour autant lâcher sa prise autour de Agride.

Lorsque le moment de partir fut venu, Almyène fit un au revoir aux deux autres qui le lui rendirent.

« Maaa...., désespéra le petit au teint mat en suppliant, je suis obligé de dire au revoir à Agride ? On peut pas le garder ?

- Ne t'en fais pas Alexis, tu le reverras. Nous irons plus souvent chez Tuyau pour que tu puisses le voir, n'est-ce pas ?, s'enquit Orias tendrement.

- Bien sûr, passez quand vous voulez, invita gentiment la petite juge.

- Allez Alexis, dis au revoir à Agride, annonça Soliès.

- Au revoir Agride..., murmura avec tristesse l'enfant en remettant le petit dans les bras de sa mania.

- Al... », babilla le bébé en lui faisant un signe de ses doigts boudinés.

Ce dernier gigota dans les bras de Tuyau, semblant vouloir finalement rester avec le petit Alexis, mais se calma au bout de quelques minutes.

Les deux familles se saluèrent finalement et les deux se séparèrent.

Alexis partit aider ses parents en débarrassant la table des enfants, pouvant seulement amener les couverts.

Finalement, au bout de plusieurs longues minutes, il saisit le bas du pull de son manio.

« Ma, quand je serai grand, je veux épouser Agride », avoua le plus sincèrement du monde Alexis sous l'air ahuri de ses deux parents.

De l'autre côté

Tuyau et Tolis parvinrent à rentrer chez eux, couchant Agride dans son berceau. Les deux se rendirent dans le salon, histoire de se changer et ranger les affaires.

Le jeune homme tapota alors sur l'épaule de la juge, la faisant se retourner.

« Tiens, je te l'offre, confia-t-il timidement en lui présentant une rose flétrie, elle est... un peu... desséchée...

- Oh non Tolis ! Ne t'en fais pas ! Je l'adore ! », s'exclama joyeusement la jeune femme en prenant délicatement la fleur et en la serrant contre son cœur.

« Cette vieille rose », fit soudainement la voix d'Alfen en écho depuis un autre livre.

La cynérienne secoua la tête, ignorant ces petites perturbations. Elle partit placer la plante dans un vase, espérant qu'elle tiendrait le coup, ce qui ne sera pas le cas évidemment.

Tuyau fit la moue, sentant que, depuis le début, quelque chose clochait. Quelqu'un semblait volontairement vouloir saboter son rendez-vous avec son général. Non. Jamais. Impossible.

Soudain, elle fut prise d'une incontrôlable envie de danser, et elle se mit à performer une magnifique chorégraphie de claquettes, sous les yeux éberlués de son époux, qui se mit finalement à apprécier le spectacle.

« Vous dansez drôlement bien Mademoiselle, lui avoua-t-il sincèrement.

- Oui, je ne suis pas que juge, j'ai l'impression de vous connaître et d'avoir été danseuse dans une vie antérieure », déclara-t-elle, percevant la confusion apparaître sur le visage du cynérien.

Il cligna des yeux, ne comprenant visiblement pas ce qui se passait. La cynérienne s'arrêta finalement de danser, comme si cette envie avait disparu aussi vite qu'elle était apparue.

Ils rangèrent tranquillement leurs affaires, Tolis se rendit dans la chambre et Tuyau s'apprêtait à le rejoindre lorsqu'elle aperçut un papier sur la table. Elle le déplia et le lut, constatant que ce dernier relatait le travail de son époux, cantonné au métier d'ouvrier.

« Peuf le gueux que c'est ! Mais ça ne m'empêche pas de l'aimer hihi », ronronna-t-elle avant de se figer.

Que lui prenait-il donc ?

Elle secoua la tête et décida d'aller se coucher. Sage décision.

Le lendemain, Tolis et elle se réveillèrent tardivement. Elle jeta un coup d'œil au réveil, apercevant l'heure : 10h10.

« L'HEURE DE SE TOUCHER LE NEZ », se mit-elle à hurler brusquement dans toute la chambre, réveillant le pauvre Tolis par la même occasion.

Il la regarda avec de grands yeux écarquillés, ne comprenant visiblement pas son comportement.

« Au fait, Tuyau, je voulais te demander, commença brusquement le cynérien en se frottant les yeux de fatigue.

- Oui ?

- Tu ne m'as pas dit que tu écrivais un livre ?

- Euh..., lâcha celle-ci, hésitante.

- Je crois que ça commence par 'Qui l'eût cru qu'un jour...' et j'ai oublié la suite. Pourrais-je le lire ?, questionna sincèrement le jeune homme.

- HAHA, oui bien sûr, un jour... quand tu auras été renversé par une chèvre », affirma la petite juge avec malice.

Son compagnon l'observa sans comprendre.

« Pourquoi tu l'aimes plus lui que moi ? », reprit-il soudainement.

Tuyau le fixa sans comprendre.

« De quoi tu parles Tolis ???, s'horrifia-t-elle, il n'y a que toi que j'aime !

- Menteuse ! Et toutes les demandes en mariage que tu m'as proposées ?? Je les ai encore en screenshot ! Et toutes ces preuves d'amour ?, remarqua Tolis en croisant les bras sur son pyjama vert fluo.

- Hein ? Quoi ?, lâcha l'ex-danseuse, sentant que le bon sens avait quitté la pièce, ou le chapitre tout du moins, quel est ce chapitre sans queue ni tête ??

- C'est justement son titre », rétorqua le cynérien.

Oh...

La petite juge sembla percuter quelque chose.

« J'ai compris Tolis hahahaha, rit-elle de manière machiavélique d'un coup, tu n'es pas Tolis !! Fluoooo !! Lâche-le !!

- Euh ??? Que t'arrive-t-il ma chérie ?, enchérit son partenaire d'un air perdu.

- Sors donc hors de ce corps, vilaine Fluo !! Kss kss ! Par Perceval !!, fit-elle en secouant un papier, devant son époux, avec un visage bien connu imprimé dessus.

- Bigre !! », s'écria-t-il en sautant comme un cabri sur le lit.

C'est de la triche Tuyau ! Utiliser la tête de Perceval pour me faire partir !! C'est traître !!

Peuh ! Comme si posséder le personnage de Tolis pour me tromper n'était pas aussi traître !

Je vais me venger alors !

La cynérienne fronça les sourcils sans comprendre avant qu'elle ne distingue le changement.

« Mais, pensa-t-elle, on dirait que j'ai encore rapetissé !! »

Elle leva la tête vers le plafond, Tolis dormant profondément à ses côtés, comme si rien ne s'était passé, et elle lança une grande menace :

« Maudite sois-tu Fluo, FuryFurys, ou je ne sais quel autre pseudo tu utilises encore !! Mais je jure qu'un jour, je te retrouverai et, avec mes grandes échasses, je te marcherai dessus !! »

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Hihi, joyeux cadeau de Noël à l'avance _Tuyau_ !!

FF

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